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En 1973 et 1974, Hardellet publie successivement deux essais Donnez-moi le temps, dans la collection « Idée fixe », et La promenade imaginaire. Deux livres qui pourraient être présentés comme le mode d'emploi d'Hardellet par lui-même. Il y aborde un genre nouveau dans son oeuvre : l'essai autobiographique.
Dans Donnez-moi le temps, texte paru en 1973, André Hardellet revient sur des épisodes de sa vie, des lieux comme la villa de son enfance, s'interroge sur les mécanismes de la mémoire, ainsi que sur la perception du Temps, la beauté du « temps perdu », alors même qu'il ne cesse de rechercher un « temps regagné ».
La promenade imaginaire reprend le propos de Donnez-moi le temps sur les possibilités de ruser avec le temps, mais va plus loin en ajoutant à la dimension temporelle, la dimension spatiale. Dans La promenade imaginaire, Hardellet déambule à travers différents lieux qui lui sont chers, évoquant ainsi son passé. Il y révèle les paysages qui lui ont permis de se trouver transporté dans un ailleurs, qu'il cherche à rendre au moyen de l'écriture.
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