80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
J'aimerais vous parler de Constance, ma petite-fille. La dernière de mon clan. Elle a accompagné bien des vies et a été témoin de bien des départs aussi. Cette douce blonde sensible a su faire preuve de courage et de dignité ; je crois sans trop me tromper que vous le constaterez. Après chaque difficulté elle s'est relevée alors que la vie n'a pas toujours été tendre avec elle. Ce petit rayon de soleil sucré, comme l'appelait Antoinette, sa grand-mère, est ma grande fierté. Notre relation a été fantastique. Un soir, elle m'a rejoint le temps d'un instant, mais Richard l'a rattrapée à temps. Elle ne pouvait pas rester, ils avaient encore des choses à vivre ensemble. Elle reviendra un jour car rien ne presse, elle a encore le temps. Et c'est beaucoup plus juste comme ça. Je vous souhaite de l'apprécier avec autant de force que je l'ai aimée.
Bien à vous, Albert Garin.
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