"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Light Yagami ramasse un étrange carnet oublié dans la cour de son lycée. Selon les instructions du carnet, la personne dont le nom est écrit dans les pages du Death Note mourra dans les 40 secondes !! Quelques jours plus tard, Light fait la connaissance de l'ancien propriétaire du carnet : Ryûk, un dieu de la mort ! Poussé par l'ennui, il a fait entrer le carnet sur terre. Ryûk découvre alors que Light a déjà commencé à remplir son carnet
Premier tome que j'avais envie de lire depuis longtemps. Très bon début et vivement la suite.
Commentaire sur l'oeuvre globale : Redoutable, d’une conception machiavélique dans le scénario, imprévisible, des personnages parfois décalés mais qui nous parlent, une question millénaire : « et si je pouvais avoir droit de vie et de mort, qu’en ferais-je ? » et plus insidieusement « quel être deviendrais-je ? ». Impossible de décrocher même si j’ai eu un moment l’envie de tout lâcher après L. Un manga dans le fond et la forme captivant et quelque part, un peu malsain.
Du suspense, une touche de fantastique, un pitch qui certes peut paraître très banal pour certains mais qui finalement, je vous assure, est une aventure à mille et une facettes !
Un premier tome qui démarre rapidement et qui embarque le lecteur dans une course contre la mort… Il n’y a aucun répit, aucun temps mort, on tourne, tourne, tourne et tourne encore les pages jusqu’à la fin du livre !
Dans ce premier tome de la série, on comprend rapidement que le jeune lycéen va devoir lutter pour conserver son anonymat contre un redoutable enquêteur de renommée mondiale ! Bref cela nous promet un duel au sommet entre ces deux personnages étonnants !
N’ayons pas peur des mots : ça rend accro, là je n’ai qu’une envie, trouver un moyen de connaître la suite !
C’est une amie blogueuse qui m’a conseillé de commencer cette saga (à ses yeux le meilleur manga qu’elle a lu jusqu’à ce jour), et j’avoue avoir été curieuse de la découvrir après avoir lu la 4e de couverture. Oui, honte à moi, je ne connaissais pas du tout Death Note, mais j’ai été séduite par le concept avant même de commencer l’histoire.
Nous suivons Light, un étudiant japonais surdoué qui tombe par hasard sur un cahier des plus singuliers. S’il écrit le nom de quelqu’un à l’intérieur en visualisant son visage, celui-ci meurt d’une crise cardiaque dans les quarante secondes qui suivent. Pour Light commence alors un véritable nettoyage du pays. Sous le pseudonyme de Kira, il s’improvise dieu vengeur et décide d’éliminer les criminels.
Dès le début, j’ai été embarquée dans cette histoire originale, qui ne ressemble à aucune autre. La mise en place des intrigues est lente, mais le tout est bien rythmé, car on découvre en même temps que Light tout le potentiel du carnet (et encore, je doute que nous en ayons fait le tour, pour l’instant).
Death Note ne serait pas aussi dérangeant ni addictif s’il n’y avait pas un personnage comme Light. De héros pétri de bonnes intentions, on assiste, impuissant, à une transformation très étonnante. Je suis passée très vite de l’affection au désarroi le plus complet.
Comme dans beaucoup d’œuvres japonaises, ce que je reproche souvent est l’impression de « trop-plein » qui me fait parfois sortir de ma lecture. Certains éléments sont un peu tirés par les cheveux, malgré une trame qui se tient à la perfection et qui nous garde en haleine par la même occasion.
En résumé, moi qui ne suis pas très adepte des mangas en général, j’avoue avoir été assez bluffée par celui-ci. Death Note est une histoire sombre et inquiétante, avec une idée de base juste géniale. Toute sa singularité repose sur un héros au charisme et à l’intelligence hors du commun, et bien décidé à faire justice lui-même. Je suis certaine que ce petit carnet qui ne paye pas vraiment de mine au premier abord n’a pas fini de nous livrer tous ses secrets…
Ma chronique : https://april-the-seven.weebly.com/bandes-dessineacutees/death-note-tsugumi-ohba-et-takeshi-obata
Death Note est le premier manga que je lis et je dois dire que je suis agréablement surprise. J'ai été étonnée par le détails des dessins notamment le détail des émotions sur le visage des personnages et par l'importance donnée à de menus détails (bruit de pas, porte qui se verrouille) mais qui ont toute leur importance dans les récit. Un beau travail Takeshi Obata.
Au niveau de l'histoire, Death note mette en avant l'histoire d'un lycéen brillant qui va voir son quotidien bouleversé dès lors qu'il trouve par hasard (on se le demande cependant) le journal du Dieu de la mort, un carnet qui offre la possibilité à son détenteur de décider de vie ou de mort sur les personnes...Mais cela est sans compter les règles du Death Note, qui renferme de multiples mystères. Au fil des pages, on découvre les personnages de Light, ce lycéen assidu qui nourrit des rêves de gloire et qui s'avère être bien plus qu'un simple adolescent et Ryuk, le Dieu de la mort qui accompagne notre héro dans sa quête du monde parfait, et qui s'avère admiratif face à un Light perspicace, impliqué et réfléchi. Deux figures complémentaires qui se retrouvent lier par un même coôté sombre.
Le scénario en lui-même est plutôt efficace, le vocabulaire simple mais percutant.
Je tarde de commencer le deuxième volet de cette saga qui s'annonce plus que passionnante à mes yeux.
j'adore l'histoire et les personnages (j'ai aussi vu l'anime et il est génial!!)
A LIRE A TOUT PRIX COMME BLACK BUTLER!!! ce sont les hits du moments!!
après c'est difficile de s'en passer!
une fois qu'on est dedans, c'est dur de décrocher... la fin m'a un peu déplu...
c'est mon manga preferer il en fond atoute les sauces(manga grand et petit format série de dessin animé et meme film!!!)il y a toujour du suspens et on ne peut jamais finir un numero sans prendre le prochain volume pour savoir ce ki ce passe car meme le film ne montre pas tous les passage ou de different passage par rapport aux manga c'est sa qui est interresand
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