80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cette étude prend appui sur les trois premiers films kabyles, La Colline oubliée, d'Abderrahmane Bougermouh (1996), Machaho, de Belkacem Hadjadj (1996), La Montagne de Baya, d'Azzedine Meddour (1997), et se poursuit avec le premier film chaoui, La Maison jaune d'Amor Hakkar (2008), avant de faire un détour vers le cinéma berbère marocain, aux côtés de Mohamed Mernic. L'auteure s'intéresse tout naturellement au contexte politique et social ayant accompagné la naissance des oeuvres et aux requêtes des Imazighen les ayant précédées.
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