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Merci Calimero pour cette chronique . Voilà un livre qui plaira certainement à beaucoup de mes amies et à mon mari . Belles lectures. Prenez soin de vous
Un flic pas comme les autres qui avance, pas à pas, dans l'ombre du loup...
Un flic pas comme les autres qui avance, pas à pas, dans l'ombre du loup...
A Rennes, l'officier de police Hubert Grimm affronte une affaire obsédante : un notable, M. Kerdegat, personnage désagréable et méprisant, reçoit coups de téléphone et lettres anonymes. Il y a aussi cet homme en scooter qui semble traquer les moindres faits et gestes du chef d'entreprise.
Jusqu'au jour où l'employée de maison des Kerdegat tombe, devant la demeure familiale, sur un corps découpé en morceaux. La tête du cadavre est introuvable...
Cette fois, l'enquête prend un tour terrifiant. Hubert Grimm découvre les ramifications de ce qui n'était, au départ, qu'une sale histoire de corbeau : un club sadomasochiste, des messages codés, des mises en scène morbides. Et une famille décimée.
Parfois, une seule affaire peut terrifier une ville entière Un polar magistral. Une fois ouvert, vous ne le lâcherez plus...
En 2013, il a obtenu le prix Charles-Exbrayat.
Un polar rythmé de 540 pages qui se lit d'une traite avec un lieutenant cabossé, plein de névroses et une nouvelle équipe qui apprend à le connaître.
Il y a des lettres anonymes, des meurtres bien gores, du sado-masochisme, de l'adultère, un commissaire un peu falot et un procureur arriviste.
Bref, les ingrédients sont réunis pour une enquête trépidante et une lecture palpitante.
En dehors d'une enquête des plus stimulante et bien construite, l'intérêt de cet opus réside dans la présentation du personnage principal Hubert Grimm, qui va devenir récurrent. Tout commence par la rétrospective d'un triple homicide commis à Abidjan au sein d'une famille aisée, puis un meurtre en Pologne. À Rennes, où vient d'être muté Hubert Grimm, Mr Kerdegat reçoit quant à lui des lettres avec des messages sibyllins. le commandant Grimm va s'occuper de cette affaire avec son équipe Ermeline, Éric et Corentin, même si pour lui il n'y a pas lieu de remuer ciel et terre d'autant que Kerdegat est un personnage totalement imbu de lui-même que l'on n'a pas envie de prendre en affection. Un scooter qui le suit va tout de même éveiller sa curiosité. La découverte devant son domicile d'un corps découpé la tête en moins, ne laisse plus de place au doute : on en veut à ce notable, mais qui est pourquoi ? Entre deux rendez-vous secrets, entre deux appels d'Amandine qu'il refuse systématiquement (une ex laissée à Montpellier avant sa mutation ?) Grimm va triturer ses méninges et aussi les vôtres.
Un bon polar complet, dense, avec sa part d'ombre et de lumière qui fait la force de ce type de romans. À découvrir, à savourer, il ne reste plus qu'à attendre la suite. découvrez ma chronique complète via le blog bonne visite à tous
Hubert GRIMM, commandant de police, affronte une affaire obsédante, un homme méprisant, Mr KERDEGAT reçoit coup de téléphone et lettres de menaces. Ce ne n'est que le début, la suite va être terrifiante.
Quand je reçois ce genre de livre, j'aime bien lire les petits mots des autres participantes, et elles étaient d'accord pour dire que le début était lent.
Mais moi dès le début j'ai vraiment apprécié le personnage de Hubert GRIMM, j'aime ce genre de protagoniste, atypique, a la personnalité complexe et surtout il m'a fait tellement rire.
Dès le début je me suis sentie complétement embarquer dans cette histoire, donc je l'ai trouvé pas du tout lent, bien au contraire extrêmement addictif.
Les face à face entre Hubert GRIMM et Mr KERDEGAT étaient fascinant, un vrai ping-pong psychologique, cela donner une intensité au récit.
C'est une trame vraiment bien ficelée ou j'ai pris tellement du plaisir à la suivre, sans parler des qualités professionnelles de GRIMM un peu paternaliste avec ses officiers, sa vie privée n'est pas simple non plus, cela à donner un véritable côté psychique au récit.
L'enquête est jalonnée de nombreux rebondissements mais ce que j'ai préféré c'est ce côté crescendo et plus on avance, plus on a envie de le finir au plus vite.
Mais il y a des livres ou se sent tellement bien qu'on n'a pas envie que ça se termine, c'est le sentiment qui m'a animée pendant cette lecture, mais j'avoue que la fin m'a beaucoup plu.
J'ai vu que c'était le premier polar de l'auteur, ses autres livres sont plutôt historique, comme j'aime beaucoup également ce style, j'irais voir ce qu'il l'a fait.
Mais je trouve pour une entrée de matière, c'est vraiment un joli coup de maître, j'espère qu'on retrouvera Hubert GRIMM et ses officiers très attachants pour un autre polar avec autant d'adrénaline.
Dixième roman d'Olivier Merle mais premier polar de cet écrivain touche-à-tout dont je n'avais lu jusqu'à présent que son opus précédent "Libre d'aimer" sur l'amour de deux femmes, dont l'une juive, pendant la deuxième guerre mondiale en France.
"Dans l'ombre du loup" est de facture classique et respecte bien les codes du genre : le commandant Hubert Grimm, récemment muté à Rennes, 48 ans, prend la tête d'un petit groupe de 3 enquêteurs; ils sont assignés à une affaire qui ne semble pas présenter grand intérêt : un notable de la ville a reçu des lettres de menace anonymes et des appels téléphoniques à 00h11 à plusieurs reprises. Mais cette affaire prend des proportions sérieuses quand un cadavre de femme coupée en morceaux est découvert devant sa porte.
Assez lent pendant tout le premier tiers du roman, ce qui permet à l'auteur d'installer son intrigue et ses personnages, le rythme s'accélère, la tension s'installe, les fausses pistes se multiplient et les éléments se mettent en place inexorablement. Le suspense est bien entretenu jusqu'à la toute fin. Le style est fluide, dynamique, les dialogues sont vivants.
Le personnage du commandant Grimm est original; il est dépressif ce qui, vous me direz, n'est pas particulièrement nouveau dans les polars français mais ce qui l'est plus c'est qu'il est bipolaire et climato-dépressif, nourri de livres sur la collapsologie. Il est suivi par une psychiatre et c'est l'occasion pour l'auteur de nous présenter les théories sur la destruction du monde par les humains.
Ce polar m'a tenue en haleine même s'il ne révolutionne pas le genre et même si des longueurs auraient pu être évitées, rendant ainsi la lecture plus haletante; je fais référence, entre autres, à la surveillance du domicile du ponte menacé ou les séances chez la psychiatre.
Merci Calimero pour cette chronique . Voilà un livre qui plaira certainement à beaucoup de mes amies et à mon mari . Belles lectures. Prenez soin de vous
Janvier. L'épouse et les enfants de M. Lamaury exécutés dans leur maison d'Abidjan. Crime terroriste?
Février. Franck Laveraud exécuté dans son bureau. Vengeance.
Mars. Le commandant Grimm, muté trois mois plus tôt au SRPJ de Rennes, enregistre la plainte de monsieur Kerdegast, riche chef d'entreprise local, qui s'inquiète de lettres anonymes l'accusant d'être l'assassin de quatre personnes. Bien qu'il prétende ne pas les prendre au sérieux, il demande une enquête aussi discrète que diligente. Grimm, sommé par son chef d'y accorder toute son attention, s'aperçoit bientôt que Kerdegast est suivi par un homme en scooter.
Une seconde lettre, encore plus explicite, arrive. L'oeuvre d'un désaxé qui s'ennuie? D'un concurrent jaloux qui cherche à le déstabiliser? Une vengeance personnelle en rapport avec le passé de Kerdegast? Grimm et son équipe ont beau multiplier analyses de la lettre et de son contenu, aucun piste sérieuse n'émerge.
Dans le même temps, ils travaillent sur une affaire de drogue aux ramifications nationales, dont Rennes constitue un des maillons: Pujol, de la police judiciaire de Nîmes, avait réussi à infiltrer un groupe de dealers et à déterminer le lieu de leur prochaine livraison. Quartier du Blosne, au sud de Rennes. Grimm et son équipe n'ont plus qu'à mettre sur pied une opération visant le flagrant délit.
C'est alors qu'un sac poubelle contenant les morceaux d'un cadavre est déposé sur le perron de la villa de Kerdegast. Il s'agit du corps d'une femme qui a été étranglée puis découpée mais dont il manque la tête. Difficile, dans ces conditions, de l'identifier. Bien que Kerdegast nie farouchement toute implication dans cette sordide histoire, Grimm est persuadé qu'il en sait plus qu'il ne le prétend. Qui est la victime? Pourquoi l'a-t-on tuée de si horrible manière? Et pourquoi déposer le cadavre sur le perron de Kerdegast? Seule certitude: le crime a eu lieu ailleurs...Mais où??
Une enquête difficile pour le commandant Grimm dont la vie privée mouvementée ajoute à son sentiment de frustration qu'il peine à juguler...
Dans l'ombre du loup a été publié le 21 janvier 2021 par XO Editions. Le style d'Olivier Merle est énergique; pas de fioritures: les mots glissent tout seuls, permettant au lecteur de se concentrer sur le contenu, car rien de plus désagréable que de lire un polar truffé de coquilles ou de maladresses syntaxiques. "Il gagna son bureau et s’assit sur son fauteuil. À vrai dire, Grimm ne se sentait pas d’humeur à travailler. Il cherchait surtout à s’isoler. Il posa les pieds sur la table, jambes tendues, renversa la tête en arrière en fermant les yeux, les deux bras retombant de part et d’autre des accoudoirs." (Page 93). Le découpage du texte, dont les chapitres sont signalés par de simples numéros, insérés dans des parties précisant le mois, l'enquête menée par le commandant Grimm et son équipe. Dialogues, passages narratifs dans lesquels l'auteur livre les réflexions et les ressentis des protagonistes et scènes d'action détaillées s'enchaînent harmonieusement: "Il n’osa pas décliner son statut de commandant de la police judiciaire, ignorant s’il devait rester discret sur ce point. Il s’apprêtait à expliquer qu’il avait rendez-vous avec M. Kerdegat quand il y eut un second déclic plus long, d’une tonalité plus basse, et la grille se déverrouilla. Il n’eut plus qu’à la pousser.
Grimm remonta la courte allée en gravier qui menait au perron de l’énorme porte d’entrée. Ce ne fut pas un serviteur en livrée qui lui ouvrit, mais l’employée de maison repérée par Ermeline, celle-là même qui prenait son travail tous les matins à 8 heures. Entre deux âges, d’allure impersonnelle, elle s’efforçait de conformer sa physionomie à la dignité et à la retenue qui seyaient à la classe sociale qu’elle servait. Grimm se présenta de nouveau." (Page 60).
De réelles qualités narratives pour ce polar. Sens de la description: "C’était un homme de petite taille, mais du genre râblé, costaud, assez large d’épaules, aux membres courts qu’on devinait puissants. Il avait le haut du crâne dégarni et les rares cheveux qu’il conservait au sommet du front étaient plaqués en arrière formant quelques lignes sinueuses destinées à dissimuler sa calvitie. Sur la nuque, les cheveux redevenaient abondants, recouvrant le cou, à l’inverse des tempes, coupées à ras. Le nez était large et long, si proéminent qu’il déterminait toute la physionomie du visage. Car ni les lèvres minces, comme absentes, ni le menton fuyant, ni les yeux allongés en deux fentes oblongues, ne pouvaient rivaliser avec un tel appendice qui lui mangeait presque le visage." (Page 186).
Une intrigue bien ficelée, développant des méandres parfois un peu longs, par exemple les séances du commandant avec sa psy, ou les développements de sa vie privée. Néanmoins, Dans l'Ombre du Loup reste un polar intéressant, abrupt comme un coup de poing, égratignant au passage la bourgeoisie bien pensante, les pontes de la police qui pensent politique et résultats, oubliant que les flics interviennent sont confrontés chaque jour aux forces du mal, mais également à des victimes, des êtres humains malmenés par la vie.
Olivier Merle se lance dans l’écriture d’un polar avec Dans l’ombre du loup. Le côté écologique de ce roman, à la facture par ailleurs classique, donne une teinte d’originalité et le met au gout du jour. Le commandant Grimm est devenu totalement dépressif face aux dérives de notre société occidentale qui, selon lui, court à un désastre climatique. Ce policier atypique et obsessionnel n’est pas à une contradiction près dans sa vie quotidienne. Pas très sympathique au départ je m’y suis cependant attachée.
Je n’ai pas vu l’intérêt du prologue. Il est facile d’imaginer qu’il a une raison d’être et de ce fait il y a beaucoup moins de suspense. Je me suis souvent agacée des ficelles un peu grosses et ai interprété les indices bien avant les enquêteurs. Sauf pour la toute fin! J’ai trouvé certains personnages un peu caricaturaux comme la maitresse du club sado ou le détective privé. J’ai aussi trouvé exagérée la servilité du commissaire et du procureur face à aux notables. Je ne suis pas sûre que la justice prenne, aujourd’hui encore, tant de précaution avec eux.
Malgré ces petits défauts j’ai été intéressée autant par la résolution de l’intrigue que par les déboires personnels du policier. L’écriture fluide et agréable de ce roman et les personnages bien campés rendent ce polar addictif et il est vite devenu, pour moi, un vrai page turner. De plus il y a de l’humour et pas seulement dans le choix du patronyme des personnages.
Peut-être le début d’une série avec Hubert Grimm et son équipe?
https://ffloladilettante.wordpress.com/2021/03/17/dans-lombre-du-loup-de-olivier-merle/
Si vous aimez les polars classiques et bien écrits, vous allez aimer Dans l’ombre du loup. L’intrigue est fort bien construite et sans sortir des sentiers battus, on a affaire à un roman policier magistral qui s’il débute assez lentement trouve rapidement son rythme de croisière. Le commandant Hubert Grimm est nouvellement arrivé à la PJ de Rennes. Il ne se passe pas grand-chose et ce n’est pas une histoire de lettres anonymes et de coups de fil reçu par un notable peu sympathique de la ville qui va mettre un peu de piment dans sa vie. Grimm trimballe pas mal de préoccupations et le peu d’action ne lui permet pas d’échapper à ses névroses et ses obsessions. J’ai aimé tous les passages où l’auteur nous livre des informations personnelles sur son héros, il le rend attachant et engagé. Très vite, les choses vont prendre un autre tournant et nous laisser subjuguer par les nombreux retournements de situations. Lorsque notre notable trouve sur le pas de sa porte des sacs poubelles contenant un corps découpé dont il manque la tête, on passe d’un simple corbeau à un tueur en liberté. A cet instant du récit j’étais happée et mordue, l’enquête va nous conduire dans des endroits louches, comme un club échangiste et ainsi on va aller de découverte en découverte, jusqu’à la résolution de l’enquête. J’ai trouvé que les collègues de travail de Grimm formaient une équipe forte avec des personnalités touchantes et bien construites. L’auteur sait aussi nous proposer des scènes glauques qui donnent du relief à l’intrigue, j’en aurai voulu encore plus, le final notamment aurait pu être différent avec un twist mais ce n’aurait plus était la même histoire et celle-ci rempli parfaitement son rôle, distrayante et captivante. Bonne lecture.
http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2021/02/27/38838888.html
Un flic pas comme les autres qui avance, pas à pas, dans l’ombre du loup…
Le roman ouvre sur deux articles de presse concernant quelques faits divers de par le monde… A Abidjan, une famille de ressortissants français est décimée, le père a disparu. A t-il été enlevé par des terroristes en échange d’une rançon ou de la liberté de prisonniers djihadistes? Ou accablé de dettes, l’homme s’est-il enfui après avoir tué les membres de sa famille, façon Xavier Dupont de Ligonnés? En Pologne, Franck Lavereau, dirigeant d’une entreprise française implantée à Byalystok, est assassiné dans son bureau…
A Rennes, l’officier de police Hubert Grimm, fraichement muté au SRPJ est en charge d’une affaire à priori banale : un notable, M. Kerdegat, industriel fortuné de la région, homme désagréable et imbu de lui-même, reçoit des coups de téléphone et lettres anonymes. Assisté de son équipe, Grimm s’aperçoit rapidement que le chef d’entreprise est traqué par un mystérieux homme en scooter, qui demeure insaisissable en dépit des liberté procédurales que prend l’officier police pour l’intercepter… Jusqu’au jour où l’on découvre devant la demeure familiale des Kerdegat un cadavre découpé en morceaux dont la tête demeure introuvable…
« Le flic pas comme les autres » c’est lui, Hubert Grimm qui ne vous contera pas d’histoire surtout si on lui parle de l’avenir de la planète… Si le récit de l’enquête en elle-même est excellent et addictif, ce personnage est véritablement le centre du roman avec ses tares et ses questions existentielles qui le placent dans une situation que l’on imagine inextricable. Dépressif chronique, anxieux climatique, suivi par une psychologue qui a beaucoup de mérite, on l’imagine d’après son discours fervent écologiste, or son comportement est tout à fait contradictoire et excessif… Je vous dresse de lui un portrait peu flatteur mais j’ai ADORÉ ce personnage dont le caractère donne lieu à des situations parfois cocasses. Son tempérament fougueux, peu enclin à respecter les ordres de sa hiérarchie, ses préoccupations psychologiques décalées et sa situation sentimentale personnelle font de lui un policier un peu à côté de la plaque, mais qui parvient malgré tout à mener son enquête à terme. Une enquête qui réserve de bonnes surprises !
Le roman est donc très axé sur la psychologie des personnages, Grimm en particulier même si les autres sont également bien étudiés, mention spéciale à la jeune lieutenant Ermeline Gasquet qui est envoyée en mission dans un club sado-maso de Rennes… Les rebondissements et fausses pistes apportent un rythme relevé à l’enquête et le style fluide est impeccable. J’ai passé un excellent moment de lecture avec ce roman, que je conseille à tous les amateurs de bons romans policiers. Je remercie Net Galley et les Editions XO pour cette découverte!
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Bonjour Dominique, merci pour votre petit mot et ravie de donner envie à d'autres de lire ce polar français. Belle fin de journée et à bientôt.