80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les oeuvres de saint Jean de la Croix ont été abondamment étudiées. Parmi celles-ci, la Vive Flamme d'Amour est peu référencée, sans doute parce que le texte restait obscur. Mais, lisait-on la bonne version ?La Vive Flamme nous est parvenue en deux versions A et B. La version A a été considérée de moindre importance par rapport à la version B dite « son testament spirituel ». La synopse des deux oeuvres met en lumière les profondes modifications qui ont été apportées à la version A. Cet outil de recherche inséré dans ce volume invite les chercheurs à décrypter les orientations théologiques divergentes des deux textes.L'étude présente met au jour l'expérience de la Trinité que le saint Carme dévoile dans la version A de la Vive Flamme, avec cohérence et clarté.Dans un retournement de perspective, véritable révolution copernicienne pour le lecteur, Jean de la Croix présente comment l'homme peut rencontrer Dieu dans son mystère trinitaire. La communication qui s'établit alors, dans l'ombre de la Trinité, laisse une place prépondérante à l'Esprit Saint comme garant de la liberté divine et humaine, pour conduire à un véritable échange entre Dieu et l'homme sauvé. « Donner Dieu à Dieu », telle est la vocation du chrétien que le saint Docteur du Carmel expose dans le feu de l'Amour qui l'habite.Marie-Laure Fraison enseigne la théologie au Centre Universitaire Guilhem de Gellone à Montpellier (Faculté de théologie catholique de Toulouse). Avec son époux Lucien, elle est membre de l'équipe responsable pour la France, le Luxembourg et la Suisse des Equipes Notre Dame.
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