80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les concepts de fini et d'infini ont traditionnellement été liés l'un à l'autre par les philosophes. Dans les approches philosophiques de ce couple conceptuel, on peut distinguer deux écoles.
La première considère que le pôle de la finitude domine toute la relation et que le concept d'infini n'est qu'un dérivé du fini. En ce cas, l'infini n'est pas autre chose qu'une représentation émanent d'une conscience particulière, par essence finie. La seconde école de pensée considère en revanche l'infini comme premier : l'infini n'est plus une excroissance « illimitée du fini ». Tel est ce que l'auteur nomme, suivant la terminologie kantienne, l'antinomie du fini et de l'infini. Le présent traité propose une voie pour résoudre cette antinomie, par l'introduction d'un troisième terme, celui de « surfinitude ». Ce nouveau concept désigne un mode de présence spécifique de l'infini dans le fini. Ainsi forgé, ce concept de surfinitude permet, entre autres, d'expliquer la genèse de la conscience pensante et des représentations qu'elle peut avoir.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année