"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
On ne choisit pas sa famille mais le diable a choisi son clan.
Alors que Grégoire et Erwan traquent la vérité jusqu'à Lontano, au coeur des ténèbres africaines, Loïc et Gaëlle affrontent un nouveau tueur à Florence et à Paris.
Sans le savoir, ils ont tous rendez-vous avec le même ennemi. L'Homme-Clou.
Chez les Morvan, tous les chemins mènent en enfer.
Ignorant qu'il y avait un premier tome, j'ai commencé par Congo requiem et j'avoue avoir mis un peu de temps à relier les différents personnages du clan Morvan au début. Petit à petit, tout s'est mis en place. le père Morvan, parti au Congo pour gérer ses mines de coltan, ce qui lui a permis entre autre de faire fortune. En tant que flic, on apprend qu'il a été confronté tout jeune à l'homme clou, un dangereux criminel barbare au Congo. Celui-ci est mort depuis quelques années mais il s'avère qu'il a des adeptes qui ont repris ses pratiques à Paris. L'ainé des Morvan, Erwan, flic lui aussi, vient de mettre fin à cette boucherie en tuant le nouveau tueur en série. C'est ce qu'il croit... Certaines phases de cette affaire restant obscures, Erwan s'interroge sur son propre père et le soupçonne de meurtre. Il part donc enquêter sur le passé au Congo, en pleine guerre. Les combats sont rudes et Erwan y risque sa vie, même si le déplacement en valait finalement la peine. de son côté, sa soeur, Gaëlle, anorexique, est suivie par un psy à Paris. Elle se rend compte que ce psy a une attitude des plus bizarres envers elle. Elle le surprend en train de fouiller son sac. Quant à Loïc, le dernier Morvan, c'est la drogue qui le tient. Alors qu'il essaie soudainement d'en sortir, son ex beau-père se fait assassiner. Un trafiquant en lien lui aussi avec le Congo. On se doute que tout est lié, tout tourne autour du père Morvan et de l'homme clou. Et alors qu'Erwan rentre à Paris, Loïc et Gaëlle tentent d'apporter leurs propres réponses à leurs questions. Ils ne reculent devant rien ( c'en est parfois un peu gros) et on craint pour eux. L'intrigue est pleine de rebondissements, le rythme est haletant. J'apprécie beaucoup l'écriture de Grange, son côté littéraire. Je pense que je relirai un jour ce roman en commençant cette fois par Lontano...
Ignorant qu'il y avait un premier tome, j'ai commencé par Congo requiem et j'avoue avoir mis un peu de temps à relier les différents personnages du clan Morvan au début. Petit à petit, tout s'est mis en place. le père Morvan, parti au Congo pour gérer ses mines de coltan, ce qui lui a permis entre autre de faire fortune. En tant que flic, on apprend qu'il a été confronté tout jeune à l'homme clou, un dangereux criminel barbare au Congo. Celui-ci est mort depuis quelques années mais il s'avère qu'il a des adeptes qui ont repris ses pratiques à Paris. L'ainé des Morvan, Erwan, flic lui aussi, vient de mettre fin à cette boucherie en tuant le nouveau tueur en série. C'est ce qu'il croit... Certaines phases de cette affaire restant obscures, Erwan s'interroge sur son propre père et le soupçonne de meurtre. Il part donc enquêter sur le passé au Congo, en pleine guerre. Les combats sont rudes et Erwan y risque sa vie, même si le déplacement en valait finalement la peine. de son côté, sa soeur, Gaëlle, anorexique, est suivie par un psy à Paris. Elle se rend compte que ce psy a une attitude des plus bizarres envers elle. Elle le surprend en train de fouiller son sac. Quant à Loïc, le dernier Morvan, c'est la drogue qui le tient. Alors qu'il essaie soudainement d'en sortir, son ex beau-père se fait assassiner. Un trafiquant en lien lui aussi avec le Congo. On se doute que tout est lié, tout tourne autour du père Morvan et de l'homme clou. Et alors qu'Erwan rentre à Paris, Loïc et Gaëlle tentent d'apporter leurs propres réponses à leurs questions. Ils ne reculent devant rien ( c'en est parfois un peu gros) et on craint pour eux. L'intrigue est pleine de rebondissements, le rythme est haletant. J'apprécie beaucoup l'écriture de Grange, son côté littéraire. Je pense que je relirai un jour ce roman en commençant cette fois par Lontano...
Grégoire Morvan n'a qu'un rêve ,exploiter ses propres gisements de coltan dans le Katanga en proie aux troubles générés par des troupes rebelles qui aimeraient s'accaparer ces terres.Mais il est préoccupé par son fils,Erwan,qui enquête dans la région sur la mort d'une infirmière qui pourrait ressusciter de vieilles histoires qu'il voudrait oublier.Alors que sa fille ,anorexique enquête de son côté sur son psychiatre qu'elle a surpris en train de fouiller son sac et que Loïc ,son deuxième fils ,en plein sevrage ,apprend la mort de son beau-père dont le corps mutilé fait penser à l’œuvre d'un tueur en série que l'on croyait mort.Le mauvais sort s'acharne-t-il sur le clan Morvan.Un bon thriller.
deuxième tome de la série : Jean Christophe Grangé nous offre un voyage intense au bout de l'enfer à travers le Congo, la France Afrique et ses affaires pas nettes. Les histoires de familles transpirent, les non dits remontent à la surface tout comme les vieilles affaires. Le vieux démons se joignent aux Morvans pour vous faire découvrir leur secret de famille. Haletant...A lire absolument
La digne suite de Lontano. Que de suspenses, que de rebondissements! Moi qui croyais devoir prolonger l'emprunt à la bibliothèque... et bien non!
Un livre plein de rebondissements! L'homme clou a encore frappé et son identité va enfin nous être dévoilée. Non sans de nombreux rebondissements autant au Congo, qu'en Italie qu'en France même. Les Morvan se montreront sous une nouvelle facette pour certains et se découvriront également.
À lire peu de temps après Lontano pour rester dzns leir univers.
« Congo Requiem » prend la suite immédiate de « Lontano » et vu la complexité de l’intrigue de l’ « Homme-clou », je conseille de ne pas laisser trop de temps entre les deux tomes, sous peine de ramer un peu comme je l’ai fait tout au long de la lecture de ce deuxième (et dernier ?) tome. On croyait l’affaire du copycat de l’« Homme-clou » résolue à la fin de « Lontano » mais… non ! La première partie se déroule en grande partie dans la jungle congolaise où Erwan cherche, au péril de sa vie, à refaire l’enquête de son père au début des années 70, l’enquête qui avait vu Morvan-père arrêté Pharabot suite à une série de meurtres rituels particulièrement cruels. En plein milieu des guerres tribales, Erwan va découvrir que son père est loin de lui avoir tout dit. Pendant ce temps là, à Paris, Gaëlle enquête sur son psychiatre et Loïc, en plein sevrage, doit faire face à l’assassinat de son beau-père. Toute cette première moitié, et notamment les chapitres en Afrique, sont assez pénibles à lire, non pas que le style Grangé soit désagréable ni que l’enquête soit trop compliquée (encore que…) mais la surenchère, pour ne pas dire la complaisance de Grangé quand il décrit par le menu les guerres tribales, les massacres, les exécutions sommaires, les rituels sanguinaires des enfants-soldats finissent par donner une impression désagréable. J’avais déjà eu cette impression avec certains passages du « Passager » (pourtant excellent) où Grangé cherchait visiblement l’écœurement au-delà de tout le reste. Si l’on ajoute à cela le racisme décomplexé de Grégoire Morvan on finit par se dire que Grangé joue un jeu curieux, limite malsain. Entre édulcorer la réalité et verser dans la surenchère, il doit y avoir un juste milieu que Grangé a eu bien du mal à trouver. Au milieu du livre, suite à la mort d’un protagoniste, le polar revient sur les rails et on revient à un roman policier noir, tortueux, plein de rebondissement et de fausses pistes mais somme toute classique. Là, je suis en terrain connu et je suis plus à l’aise, et je veux bien fermer les yeux sur quelques énormités (Grangé est parfois no-limit à la fin de ses romans !), je veux bien me laisser mener par le bout du nez jusque dans les toutes dernières pages, je veux bien assumer le bain de sang des derniers chapitres pour suivre cette enquête à tiroir qui amènera Erwan Morvan à croire à plusieurs reprises qu’il touche au but alors que… non. La psychologie des Morvan, pas toujours évidente à comprendre (il faut dire qu’avec une hérédité pareille ce n’était pas gagné !) est intelligemment exploitée, et l’on finit le roman en ayant tout pigé alors que là non plus, ce n’était pas gagné ! Le duo « Lontano-Congo Requiem » n’est pas ce que Grangé à pu produire de meilleur à mes yeux, mais pas non plus ce qu’il a fait de pire. A réserver aux amateurs de polars très noirs et à déconseiller aux âmes sensibles.
Encore une fois, un Grangé exceptionnel. On en apprend toujours plus sur les civilisations qui nous entourent. Des personnages poignants, dont on partage les élotions au fil des pages. Une belle suite, bravo.
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