80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Je ne suis pas un moraliste, mais autodidacte qui lance une réflexion, aussi banale soit-elle, sur notre responsabilité qui mine actuellement notre environnement. L'exode économico-rural décime peu à peu nos villages, favorisant ainsi la concentration des centres urbains qui déstabilisent notre société. Un vieillard africain qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle. Ainsi, disparaît avec lui son savoir. L'intelligence et la sagesse n'appartiennent pas seulement aux seuls intellectuels. Elles ne sont et ne seront la propriété de quiconque. Pour s'exprimer ou donner son avis, on n'a pas besoin d'étaler sa vie ou sa biographie. Ceux qui veulent l'écouter prêtent attention au sujet qui veut leur être communiqué.»
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