Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
À l'heure du conformisme de masse, la singularité serait-elle engloutie ? Ou s'agit-il au contraire de la redécouvrir ? Ce livre traverse les mers et continents des intuitions et créations humaines pour gagner l'archipel de la personne où aucune île ne peut se penser sans rapport à l'autre.
La philosophie, l'histoire, la littérature, l'art, jusqu'au cinéma, entrent ici en résonance par-delà les siècles et les lieux. Nietzsche fait écho à Montaigne, lequel entretient un lien implicite avec Vinci. Melville présente plus d'une affinité avec Kafka, lequel ne l'avait pas lu. Au cours de ce périple, à la jointure du réel et de l'imaginaire, interviennent également, comme en un songe éveillé, paysages, animaux et personnages fabuleux. Tous nous indiquent que l'individu ne saurait être une monade sans porte ni fenêtre. De cette odyssée, Agnès Minazzoli tire un dialogue polyphonique d'exception. Et nous montre comment pour appréhender l'un, il faut comprendre l'autre.
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