Laura Warren est mariée et subvient seule aux besoins de sa famille comme technicienne d'imagerie médicale. À 42 ans, elle sent qu'elle arrive à un tournant de sa vie.
Richard Copeland est commerçant en assurances et se trouve à l'étroit dans son couple.
Le temps d'une échappée de cinq jours à Boston, leurs deux solitudes vont se rencontrer. Les mots, les livres, les films en commun, puis l'évidence : l'amour fou, et l'espoir qui renaît...
Mais sommes-nous libres de choisir le bonheur?
« Douglas Kennedy confirme dans ce nouveau roman ses talents de psychologue et sa capacité étonnante à se glisser dans la peau d'une femme. » Madame Figaro « Une puissance d'évocation hors du commun. » Le Journal du Dimanche
mon livre préféré de Douglas Kennedy..... un homme, une femme, une rencontre, une histoire de 5 jours.....mais qui ne rêvent pas de vivre 5 jours aussi beaux.
Une histoire d'amour est toujours un bon moment de lecture.
La rencontre entre Laura et Richard, deux êtres
mal-aimés .Un énorme coup de foudre et l'envie de partir ensemble vers une nouvelle vie. Ils sont passionnés par les mots, la lecture, la poésie. Ils s'entendent à merveille et se comprennent tellement bien. Ils vont enfin pouvoir voyager, visiter des musées, discuter arts et littérature et s'aimer.
Laisser le passé et vivre la passion.
Une phrase : " le livre est un remède contre la solitude "
Vous souvenez- vous des paroles de la chanson du célèbre film de Claude Lelouch : Un homme, une femme ? « Comme nos voix / nos cœurs en joie/ ont fait le choix/ d'une romance /qui passait là..... »
Des paroles qui accompagnent pour moi cette histoire de rencontre entre les deux personnages: Laura et Richard, emmurés chacun dans un désert affectif et une existence qu'ils n'avaient jamais réellement choisie, et qui le temps d'un week-end vivent une passion enivrante avec l'être auquel ils se sentent destinées et qui voient se profiler un nouvel avenir .
Auront-ils la force de rompre avec leur passé ?
L'intrigue est digne des ouvrages de la collection Arlequin, mais est sauvée par le savoir-faire de Douglas Kennedy, maître dans l'art de construire une intrigue, de maintenir un suspense et d'analyser les relations à l'intérieur d'un couple déjà usé ou en train de se former .
Si le roman présente un beau portrait de la femme attachante qu'est Laura tant dans sa vie d'épouse, de mère ou d'amante, que dans sa vie professionnelle, je n'en dirai pas autant de celui de Richard, Un portrait, trop chargé à mon sens, celui d'un homme qui cumule depuis l'enfance épreuves et coups du sort.
Un ouvrage très romanesque mais trop « cha-ba-da-ba-da- » à mon goût, notamment dans les nombreux dialogues, échanges sirupeux de duos amoureux et qui n'en finissent pas .
C'est un roman léger, dans le sens qu'il se lit vite et facilement, mais dans lequel on retrouve de la profondeur, notamment dans le personnage de Laura, l'héroïne.
On va donc suivre Laura lors de cinq journées.
Laura a la petite quarantaine, deux enfants - dont un fils dépressif -, un mari bougon -un peu trop caricatural à mon goût-, un mariage englué dans une monotonie certaine. Il lui manque de la légéreté (surtout que son métier de technicienne en radiologie ne peut pas la lui apporter non plus).
Cette légéreté, Laura va la trouver lors d'une escapade à Boston, loin de chez elle, escapade qu'elle attend impatiemment. Cette légéreté aura un prénom, Richard. Lui aussi est triste. Lui aussi a un fils pas facile. Lui aussi est englué dans un mariage difficile et monotone pour ne pas dire sans amour.
Ils vont se reconnaître.
Je n'en dis pas davantage, au lecteur de découvrir par lui-même.
Je reste sur un sentiment plutôt positif de ce roman, même si je trouve ça un peu "trop" parfois. Mais n'est-ce pas l'apanage de Hollywood et des romans que de nous montrer des histoires particulières?
J'ai bien aimé la fin même si d'autres auront forcement un autre avis que le mien.
J'aime beaucoup cet auteur et pourtant j'ai été fortement déçue par ce roman. Surtout par le fait que j'ai trouvé l'histoire d'amour d'une grande niaiserie, du style (je caricature mais c'est l'effet que j'ai ressenti) : "- Tu est merveilleuse - Ah non c'est toi qui est merveilleux - Mais non c'est toi ! - Ah non je t'assure c'est toi... ! etc..." J'ai trouvé ça lassant... Pas le meilleur de Douglas Kennedy et on peut très bien se passer de cette lecture.
Douglas Kennedy m'a encore eu ! Et pourtant, son sujet est on ne peut plus banal, bateau et éculé mais son roman fonctionne complètement, et même dés les premières pages. Laura, la quarantaine, pas très heureuse en mariage, croise Richard lors d'un séminaire à Boston. Lui aussi a un couple qui bat très sérieusement de l'aile. Ils se parlent, ils se plaisent et en quelques jours, ils tombent amoureux comme des adolescents, au point d'envisager de tout plaquer pour vivre ensemble. Mais 5 jours, c'est court pour faire un si grand pas. Le point fort de ce roman est l'identification immédiate et l'empathie qu'on ressent pour le personnage de Laura. C'est son parcours à elle que l'on suit, plus que celui de Richard, ce sont ses chagrins qu'on essuie, ses espoirs qu'on ressent. Sans vouloir en dire trop sur le dénouement de cette histoire de coup de foudre, la sagesse et la lâcheté ne sont pas forcément chez ceux que l'on croit ! J'ai cru un moment que le livre allait se terminer sur un note plombante et frustrante mais en fait non, au contraire, il y a dans les derniers chapitres un vent de fraicheur et d'optimisme tout en nuance qui fait du bien. C'est un très beau roman d'amour à la fois très romantique et très moderne.
Peut-être un peu plus difficile de rentrer dedans. Malgré tout un bon D. Kennedy, poignant et bouleversant.
Laura et Richard vont se croiser, s'aimer ...oui mais Laura et Richard sont maries chacun de leur coté depuis longtemps.
Ce livre m'a été offert , je n'avais jamais lu un livre de cet auteur... heureusement ...alors oui certains couples pourront se reconnaître mais personnellement à part Laura , les autres personnages m'ont semblé terne ou pathétiques (selon le point de vue) et l'histoire très banal.
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