Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
Léo Ferré disait « l'ennui de la morale, c'est que c'est toujours la morale des autres ». Au nom de quoi fait-on la morale, est-ce pour maintenir les peuples en servitude ou pour qu'ils grandissent et deviennent libres ? C'est-à-dire qu'ils deviennent sujets responsables et créateurs, facteurs de leur vie, de leur évolution. Nous en sommes bien loin. La morale n'a jamais été qu'un outil dans les mains des puissants ; les peuples étant considérés comme masse devant se soumettre, moyennant quoi leur laisse était plus ou moins lâche, mais si peu.
Il en ressort comme une fuite en avant désespérée et ravageuse, il ne peut en être autrement dans ces conditions de luttes furieuses pour survivre, dans ce monde impitoyable des affaires, du moindre commerce.
Ce livre n'est qu'une modeste tentative d'exploration des causes de tout cela, et d'éventuelles réponses pour l'individu dérouté face à ces flots qui nous emportent. Ce texte, comme ceux qui précèdent, sont le fruit d'une inquiétude forte, pour ne pas dire d'une angoisse ou d'un effroi devant la tragédie existentielle qui se dresse devant nous, comme un Chaos.
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