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Miguel Hernandez est un poète peu connu du public français. Alors que les poèmes de nombreux de ses contemporains (Lorca, Alberti, Machado) ont été traduits en français, les lecteurs français ne connaissent pas ce poète berger d'Orihuela, bien qu'il soit une icône en Espagne.
Seuls quelques recueils (L'enfant laboureur, éditions Seghers, 1960) et quelques poèmes, parus aux éditions Unes, avaient été traduits ces cinquante dernières années. Plus récemment ont été publiés El rayo que no cesa (traduit par Sophie et Carlos Pradal, éditions Brocéliande en 1989 et éditions Écrits des Forges, Québec), et La foudre n'a de cesse (traduit et mis en rimes par Nicole Laurent-Catrice, éditions Folle Avoine en 2002).
Les derniers poèmes de Miguel Hernández rassemblés dans ce recueil, Chansons et refrains d'absence, n'avaient jamais été traduits en français.
La poésie simple écrite par cet homme ardent et généreux au destin tragique parle au coeur de chacun : les horreurs de la guerre, les privations, la mort d'un premier ;ls puis la naissance d'un second ;ls, l'éloignement de la femme aimée.
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