"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La première édition de « Ce siècle avait deux ans » date de 1980 (Editions Belfond). Par la suite, André Gillois publia, sous d'autres formes, d'autres versions de ses souvenirs (« Boulevard du temps qui passe », Le Pré-aux-Clercs 1986, ainsi qu'une version très allégée, « Adieu mon siècle », aux éditions Ornicar, en Février 2000).
Mais l'édition que nous présentons aujourd'hui se veut une version « définitive ». Des trois volumes précédents, André Gillois a conservé les chapitres les plus significatifs, ajoutant des compléments passionnants qu'il s'était jusqu'à maintenant refusé à laisser paraître.
De la première édition du « journal de Jules renard aux Editions François Bernouard en 1925, dont il fut l'instigateur et le responsable, à la matinée du 6 juin 1944 en tête à tête avec le général De Gaulle furieux d'être « privé » de débarquement, en passant par la fameuse dédicace de Proust à son amie Madame Shaikévitch, puis aux rencontres avec Courteline, Einstein, Caocteau et Sache Guitry, André Gillois tire un fabuleux feu d'artifice. Bourré d'anecdotes, son récit brosse le tableau de plusieurs époques et fait visiter les coulisses de l'histoire et de la création.
Ajoutons que son style sec, nerveux, enjoué, est un régal.
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