80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Ce qui tient debout les humains de ces récits « ordinaires » mais uniques, c'est le lien VIF et indéfectible qu'ils tissent entre eux et le regard éperdu de tendresse qu'ils échangent et adressent au monde parfois brutal qui les chahute. Adila, Paulo, Mémé Bleue et les autres sont des invisibles oubliés de la grande foire des gagneurs. Mais ils sont admirables par cette ressource en eux de la solidarité, de la résistance, de la consolation. Ils tiennent debout, même de guingois, et c'est un petit peuple qui se redresse. Et s'ils chutent, ils trouvent une main qui les cajole pour que même la fin ne soit pas trop cruelle.
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