80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Klaus emménage à Oslo avec sa mère récemment nommée CPE dans un lycée où il va poursuivre sa scolarité. Juste avant la rentrée, en se baladant dans le lycée, il surprend une conversation entre un garçon et quelqu'un d'autre, conversation où l'un menace l'autre. Il croise l'adolescent Sturla qui ne lui dit rien. C'est Sturla qui débarque chez Klaus par surprise le lendemain, en fait il vient voir sa mère (CPE) et repart très vite, angoissé et fébrile. Il est retrouvé mort écrasé par le métro. Klaus a entre les mains une clé usb appartenant à Sturla, elle contient son journal. Très vite Klaus doute de la version de l'accident, et la soeur de Sturla aussi. Il était menacé, mais par qui ? Ses soupçons se portent sur un professeur. Amour homosexuel ? Mais l'année scolaire a démarré et Klaus rencontre sa classe, les anciens amis de Sturla, tout s'embrouille, il devient lui même suspect, n'est-il pas le dernier à avoir vu Sturla, il aurait pu le pousser au suicide. Les versions divergent, qui croire ? La vérité sera bien pire que tout ce que Klaus aurait pu imaginé, en tout cas pas celle offerte en première analyse. Et le roman se termine de façon brutale et terrible. Roman de la manipulation, de la force des bandes, de la détermination et sujétion absolue des adolescents en leur engagement.
Un polar glaçant, efficace, perturbant (pour les adultes). Des portraits sans concessions qui dérangent.
On ferme ce livre en ayant une impression de malaise car c'est glaçant...Ca parle de manipulation de harcèlement ..et ça me touche...
Ca se passe dans un milieu scolaire et les élèves ne sont donc pas ceux que l'on croit.
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