80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les personnages de Paul Emond ont une propension quasi maladive à se raconter.
Que ce soit dans Malaga, dans Inaccessibles amours ou dans Le Royal, leur confrontation dans un bistrot, sur le quai d'une gare ou dans un hall d'hôtel n'est pour eux qu'un prétexte à dévoiler progressivement leurs petites et grandes misères. Souvent avec un humour qui transforme ce qui pourrait n'être qu'une banale histoire en véritable reflet cruel de la comédie humaine dans tous ses états.
Si Caprices d'images poursuit cette exploration d'un quotidien on ne peut plus contemporain, on y pénètre également dans le sommeil de certains personnages, et donc dans leurs rêves.
Ce va-et-vient étrange et parfois comique, entre rêve et réalité, nous fait suivre les protagonistes de la pièce à la recherche de leur image véritable. Mais où peuvent-ils la trouver, cette image, si le quotidien ne ressemble plus qu'à un téléfilm et si les songes ne sont plus que mensonges et fabulations ?
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