Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Gwenn a 30 ans. Elle est belle, libre, aussi drôle que désespérée. Elle a toujours rêvé d'être Isabelle Huppert mais pour le moment elle travaille dans un sex-shop à Pigalle, parfait poste d'observation de ses semblables qu'elle saisit avec humour et tendresse dans son journal intime où elle raconte, entre autres, sa vie nocturne, ses virées, ses amours.
Personnage haut en couleur, bouleversante égérie, inapaisée, inapaisable, Gwenn est une Calamity Jane des temps modernes. À la lisière de la fiction et du documentaire, l'art de François Beaune, l'auteur entre autres d'Un homme louche et d'Omar et Greg (prix du Réel 2019), en fait une foudroyante héroïne.
Gwenn a 30 ans. Elle monte à Paris pour devenir Isabelle Huppert. Mais en attendant il faut bien remplir le frigo et payer les fêtes alors elle travaille dans un sex shop à Pigalle.
Une sorte d’anti Bridget Jones qui se livre dans son journal intime et nous fait découvrir une galerie de portraits étonnante.
Gwenn cherche l’amour sans jamais l’admettre.
Je n’ai pas accroché à l’atmosphère du livre, le personnage de Gwenn est attachant et pourtant elle ne m’a pas touché.
Une déception après avoir été accroché par la présentation facebook live de la rentrée chez Albin Michel.
Drogues, sexe et cinéma
Gwenn, elle est vendeuse dans un sex-shop, elle est comédienne sans rôle fixe, elle fait ce qu'elle veut, elle baise qui elle veut, elle parle comme elle veut.
Dans Calamity Gwenn, c'est son journal intime que nous lisons, aux mois poétiquement renommés.
Dans ces pages, elle se livre sans filtre, sans fard, et à corps perdu. Ses mecs, ses addictions, ses déprimes, ses plans foireux, rien n'est occulté, rien n'est mis de côté.
Le langage est cru, parfois vulgaire, toujours sans tabou.
Je salue François Beaune pour avoir su se glisser dans la peau d'une jeune femme un peu paumée, c'est totalement réaliste.
Cependant, je ne peux pas dire que j'ai été séduite par ce roman.
Trop cru, trop vulgaire, au-delà de 100 pages, mon intérêt s'était émoussé.
J'ai (re)connu ses errances de jeunesse, jusqu'au nom d'une boîte citée que j'ai fréquenté occasionnellement, errances un peu plus malheureuses chez Gwenn toutefois.
J'ai souvent pensé à Virginie Despentes pour la rage, le message, le réalisme de l'écriture. Mais il faut croire que j'apprécie moins ce genre de roman aujourd'hui.
Calamity Gwenn m'a touchée sans m'enchanter.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !