Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
« J'ai l'impression de devenir une de ces victimes de la folie, comme la philosophie de Kant en a tant sur la conscience [...]. La pensée que nous ne savons rien ici-bas de la vérité, absolument rien [...], cette pensée m'a ébranlé jusque dans le sanctuaire de mon âme. [...] Ce que je veux, c'est voyager » écrit en 1801 le poète et dramaturge Heinrich von Kleist, bouleversé par la découverte de la philosophie critique. Aucune orientation simple de l'existence ne s'offre à nous : ni la connaissance de la nature, ni la conscience morale, ni la foi en une destination de l'homme ne constituent des pôles suffisamment assurés.
Sur les traces de Kleist, les articles du présent dossier nous convient à une exploration de la pensée kantienne qui souligne l'absence de réconciliation et d'harmonie des facultés et s'efforce de mesurer les implications d'un tel manque.
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