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Les étrangers occupaient une place importante dans le commerce, l'administration et la culture du monde malais au XVIIe siècle.
Ce livre étudie le rôle des étrangers dans le développement de la littérature malaise à travers un exemple précis : le Bustan al-Salatin, écrit vers 1640 à Aceh, au Nord-Ouest de Sumatra, par le savant religieux Nuruddin ar-Raniri. Ce texte malais, inspiré de la littérature persane et traduit par un auteur arabe né en Inde résume à lui seul la complexité des transferts culturels intra-asiatiques à l'époque moderne.
Cette oeuvre immense est unanimement considérée comme un monument de la littérature malaise ancienne, même si très rares sont ceux qui l'ont lue. Elle n'a toujours pas été éditée et n'a jusqu'à présent guère bénéficié de toute l'attention qu'elle mérite. Après une analyse détaillée du texte, ce livre tente de comprendre les intentions de son auteur et de son commanditaire, d'examiner la façon dont il a été reçu par la population locale et de déterminer sa véritable place dans la littérature malaise.
Cette analyse permet de jeter une lumière nouvelle sur les connexions et les circulations culturelles dans l'Océan indien, dont le monde malais constitue un formidable concentré.
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