80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Un journal, oui, mais littéraire. Un journal d'idées, d'idées souvent communes, mais dont on n'a pas toujours mesuré la profondeur.Communes parce que nous avons tous, à peu de chose près, les mêmes vagues à l'âme, nous avons tous les mêmes emballements, les mêmes révoltes et les mêmes divagations, ou presque. C'est de ces choses-là, douces ou amères, dont tente de parler ce petit livre, écrit avec plaisir, mais parfois un brin alcoolisé. Ce qui se comprend bien lorsqu'on sait que ces textes brefs ont tous été écrits à Berlin, ou plus exactement, qu'ils ont tous été écrits sur les comptoirs, de zinc ou de cuivre, des cafés de cette ville, cafés et bars qui étaient à compter, il y a quelques années encore, parmi les plus drôles d'Europe. Les troquets, les brasseries. On ne le dit pas, mais les bars sont nos véritables lieux de culte, nos églises modernes, nos paroisses, nos refuges, et les prémisses de toutes nos grandes idées.
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