Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Jean-Pierre réalise un autoportrait sage. Il pose comme un regard sur le monde. Mais aussi vibrations intimes. Ce n'est pas qu'un regard scrutateur. C'est un regard en alerte et méditatif. Un regard soucieux. Le monde fait souci, donne du souci. Portrait d'ombre et de lumière où la lumière importe plus que l'ombre, même si elle n'occupe qu'un tiers de l'espace. Ce n'est pas l'ombre qui aura raison car la lumière provient d'une double source, extérieure et intérieure. La détermination à mettre en lumière est forte, insistante. Le monde n'échappera pas au regard du peintre. Il livrera sa vérité d'ombres et de lumières, dualité de la vie et de la mort, inconciliables, inséparables.
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