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April, April, elle fait ce qu'elle désire... Le portrait bouleversant d'une enfant de milieu défavorisé qui devient adulte. Tobias Becker, Spiegel Online Au début, il y a une valise avec de maigres affaires et une chambre en sous-location. La jeune fille qui s'est donné le nom d'April - d'après la chanson de Deep Purple - a quitté son foyer social et son apprentissage pour un poste d'employée de bureau. Elle essaie de trouver ses marques dans le Leipzig de la fin des années soixante-dix, en se heurtant souvent à ses propres limites. Elle franchit cependant toutes les barrières qui lui sont imposées, y compris la frontière qui sépare les deux Allemagne, lorsqu'elle rejoint le Berlin-Ouest des années quatre-vingt. Mais à tout nouveau départ succède une rechute, à tout instant de bonheur une destruction, à toute ivresse le dégrisement. Et toujours revient la question des modèles de l'enfance, de l'empreinte laissée par une mère irresponsable et un père alcoolique...
Après La Fille sans nom (Grand Prix de l'héroïne Madame Figaro 2015), Angelika Klüssendorf signe une nouvelle oeuvre bouleversante. Dans une prose sans complaisance ni pathos, elle relate le parcours d'un être qui se libère d'un passé apparemment sans issue.
Un roman poignant sur l'adolescence. Une peinture lucide des conditions sociales avant la chute du Mur.
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