Vers déliés sur sujets existentiels... il y n'a pas oeuvre d'art s'il y n'a pas contenus. Les sujets engendrent les formes automatiquement avec lequel s'exprimer. Le vivre quotidien nous met continuellement devant les grands dilemmes de l'existence: d'où nous veinons, qui sommes, lequel c'est le but de notre présence que pendant qu'il coule elle est bombardée par connaissances et déchiquetée par croix. Avec les «Pâques» on est tâché de remarquer la condition humaine insérée dans les schémas chrétiens qui dans un parcours vital vivifié par la collision bien/mal il fait émerger l'espoir final: l'homme-Seigneur. En «ville» une de flash-back pas gratifiants portent ensemble de toute façon aux «hymnes triomphaux à la vie.» L'absence de gouvernement comme les Grecs synthétisaient avec le mot anarchie c'est le status dernier social conçu par l'homme; dans les millénaires il a assumé projections différentes. Dans cette récolte il s'invite au faire le propre «devoir.»
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