Créée en 1993, la bourse des valeurs mobilières d'Alger peine à trouver une vitesse de croisière digne des potentiels de notre pays, et ce pour diverses raisons : sociologiques, historiques, politiques et économiques.
Dans l'esprit du législateur de 1993, le marché boursier devait être alimenté par la privatisation de certaines entreprises publiques, jugées, à l'époque, improductives et budgétivores. Avec l'embellie financière, corollaire du renchérissement mondial des hydrocarbures, les autorités politiques ont interverti les priorités et les urgences. Ce n'est que tout récemment, que la Bourse d'Alger suscite l'intérêt mérité.
Alors, « spéculons » sur l'avenir de cette institution...
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Découvrez les derniers trésors littéraires de l'année !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
