"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Haute trahison ?En 1963 l'agent Fred Ogier est de retour à Paris, après avoir réussi à s'extirper de Vienne. Une nouvelle mission l'attend à la SDECE - le service d'espionnage français. Se pourrait-il que le colonel Hainaut, membre éminent de la maison soit un agent du KGB ? La bonne coopération entre les Etats-Unis et la France s'avère nécessaire pour lever le voile sur cette affaire. Au même moment, dans une petite ville américaine, le docteur Murphy est sauvagement décapité. Le FBI s'empare de l'enquête. De son côté, l'agent du KGB, Trifonov passé à l'Ouest, est traité avec les plus grands égards par les Américains. S'il continue de faire des révélations, certaines pourraient devenir bien embarrassantes pour la France. Plusieurs affaires s'entrecroisent dans ce second tome passionnant qui nous fait voyager dans l'URSS communiste, l'Amérique de Kennedy et la France du général De Gaulle.
A la fin de ma chronique du premier tome de cette série un peu mal embarquée, j’entrapercevais la nécessité de relire le tome en question lorsque j’aurais le deuxième entre les mains, histoire de me replonger un peu dans cette série. J’espérais alors un peu mieux rentrer dedans… Bon, hé bien c’est raté. Pire, les reproches que je faisais alors au premier tome s’appliquent aussi, et malheureusement, à ce nouvel opus.
En effet, l’action est toujours aussi compliquée à suivre, la faute à une multitude de lieux, de périodes, de personnages et d’intrigues. Je veux bien que la richesse du scénario soit à l’origine de ce choix scénaristique, mais le risque de perdre le lecteur n’en est que plus important. En tout cas, c’est ce qui se passe pour moi dans ce volet de la collection affaires d’état (contrairement aux deux autres que je trouve bien mieux réussis scénaristiquement : Jihad et Extreme droite). Alors, oui, c’est peut-être un poil plus simple que le premier tome, mais entre les portes ouvertes précédemment et les nouveaux développement de ce second tome (la victime décapitée par exemple…), entre les faux semblant et la soupçonnite aigüe que l’on contracte dès qu’on lit un truc d’espionnage, ce n’est vraiment pas facile de s’y retrouver…
Accessoirement, je ne suis toujours pas fan de dessin… Question de goût plus que de qualité intrinsèque, bien entendu…
Bref, je n’accroche toujours pas… Et au bout de 2 tomes, ça commence à faire un peu long, non ?
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