Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Les alcooliques mais aussi dans une moindre mesure les toxicomanes aux opiacés reconnaissent mal les expressions faciales émotionnelles. Ce défaut de reconnaissance est corrélé à l'ampleur des difficultés interpersonnelles que ces patients rapportent. Ce déficit pourrait être consécutif à l'action toxique de l'alcool sur le cerveau et plus particulièrement sur les zones impliquées dans le traitement de l'information émotionnelle. Il pourrait également être partiellement présent avant le développement d'une assuétude et constituer un facteur de risque, les patients ayant des difficultés à se mouvoir dans le monde social, ce qui pourrait favoriser le recours aux substances comme béquille relationnelle.
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