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Ces douzièmes Assises de la Traduction littéraire en Arles se sont ouvertes sur une conférence inaugurale de Paul Fournel, président de la Société des gens de lettres, sur le thème «De ce qu'écrire est traduire», explicitant notamment certains travaux de l'Ouvroir de littérature potentielle ainsi que, comme il l'appelle, la traduction "du français en français" qu'implique l'acte d'écrire. Elle a été suivie d'une table ronde sur «Les traducteurs de Giono», avec la participation de traducteurs venus d'Allemagne, de Russie, de la République slovaque, de Grande-Bretagne, d'Espagne et des Pays-Bas. Jacques Lacarrière a évoqué, dans une conférence, «Armand Robin traducteur». Une deuxième table ronde était consacrée à «Traduire la Bible» (Ancien Testament, écrits intertestamentaires, Nouveau Testament, Bible des Septante) avec les principaux traducteurs actuels de ces textes fondamentaux des civilisations orientale et occidentale.
La table ronde de l'ATLF, «Traduis-moi un mouton», abordait, quant à elle, la traduction de la littérature pour la jeunesse. Tandis que les ateliers de langues concernaient des textes de Vincenzo Consolo, Adam Shafi, Herman Melville, la Bible, Rodney Hall, Francisco Delicado, Hermann Lenz et Lalla Romano, les ateliers thématiques portaient sur «La littérature pour la jeunesse» (anglais) et sur «Les injures» (russe).
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