Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Abadôn, dans le livre de job, c'est la perdition, l'égarement.
égaré: sur une île, un quai, dans une ville, une chambre d'hôpital. l'espace a toujours des murs envahis de lierre, celui de l'enfance persistante, parasite, il a toujours la mer, qui lui donne ses proportions, ses chiffres et ses rythmes. l'égarement n'a pas d'île, de ville ni de quai, ni de chambre, mais une écriture qui se gagne sur la nuit et dans la nuit, avec le corps, sa fatigue son sexe et son souffle, et le contact amoureux le plus seul, le plus étroit et le plus douloureux avec la violence originaire.
Et la poésie comme perdition accidentée, charnelle, désirée quelque part entre le noir et le nu, intensément.
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Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !