"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Perdre son mari à vingt-huit ans, le jour de la Fête des morts, n'est pas une sinécure. Mais devenir, pour le quartier, la veuve Vert-de-gris, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, peut rapidement virer au cauchemar. Surtout lorsque l'occupant prend les traits d'un jeune et bel officier allemand, et que les péripéties d'un amour impossible se confondent avec les soubresauts de l'histoire. Les tabous ont la vie dure, et s'il a été beaucoup écrit sur la guerre, rares sont ceux qui ont osé s'emparer, comme ici, avec empathie, sensibilité, et une pointe de fantaisie, de ces amours interdites entre peuples ennemis. Pour relire l'Histoire avec un oeil neuf, « À minuit sous l'obélisque » est un grand roman qui n'oblitère rien des horreurs du conflit, mais le fait sans manichéisme, parce que la vie continue, tout simplement.
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