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Le but de cet ouvrage est d'identifier les types de collectionneurs d'art asiatique - qu'ils soient eux-mêmes asiatiques ou occidentaux - et les politiques muséales, à travers une approche mêlant histoire de l'art, esthétique, anthropologie, sociologie, économie et politique.
Comment une société perçoit-elle l'art d'une autre société ? Et aujourd'hui, comment la mondialisation influence-t-elle cette perception : les frontières ne tentent-elles pas à s'estomper, les différences entre les arts à se dissoudre ?
Enfin, l'ouvrage montre comment la collection est liée au marché de l'art et peut inclure certains enjeux identitaires pour lesquels on est souvent prêt à payer le prix fort. Ainsi, a contrario d'une idée communément admise selon laquelle « l'art n'aurait pas de frontière » ou que la nationalité n'aurait pas d'impact sur les cotes des artistes, les classements de ces derniers sur le long terme placent toujours les pays les plus forts économiquement au sommet du marché de l'art.
Ainsi, la collection nous permet d'entrer dans un imaginaire individuel ou collectif inscrit dans un lieu ou une époque donnés, l'Asie ou l'Occident, hier ou aujourd'hui, révélant la vision que l'on a de soi ou de l'autre.
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