Maya a disparu.
Une course contre la montre s'engage sur le terrain pour les hackeurs du Groupe 9 qui cherchent à déjouer la conspiration des fauves.
Les fauves, une poignée de puissants qui s'attaquent à nos libertés.
Leur plan : créer le chaos, s'approprier toutes les richesses et régner sans limites.
Mais qui est 9 ?
Ce nouveau thriller de Marc Levy est la suite passionnante de l'aventure des 9 héros intrépides et attachants rencontrés dans C'est arrivé la nuit.
9 Robins des Bois d'aujourd'hui, 9 hors la loi qui oeuvrent pour le bien au péril de leur vie.
Un roman d'espionnage engagé qui dévoile de manière éblouissante les dérives de notre époque.
Merci aux éditions Pocket de m'avoir permis la lecture de ce bon thriller . On retrouve nos hackers qui unissent leurs forces pour contrecarrer un complot mondial fomenté par des ultra nationalistes et des ultrariches .Un 2ème tome plus haletant où les rebondissements s'enchaînent poussant le groupe de hackers à prendre des risques pour retrouver une réfugiée syrienne détenant des informations qui pourraient compromettre le complot .Lecture agréable .
Voilà les hackeurs découvert dans "c'est arrivé la nuit" lancé dans une nouvelle mission. Alors qu'ils ne devaient jamais se rencontrer les voilà convoqués à Kiev pour la mener à bien.
ça bouge beaucoup, entre Kiev, Londres, l'Espagne, l'Italie, la Turquie ... chacun a ses objectifs plus ou moins périlleux et l'un des membres a disparu. C'est donc parfois un peu brouillon entre toutes les actions menées, les lieux visités, les puissants traqués mais j'ai malgré tout passé un bon moment et suis prêt pour le "peut être" dernier opus.
La course contre la montre lancée lors du premier tome « C’est arrivé la Nuit » s’accélère, tous les hackers du groupe 9 se retrouve à Kiev pour finaliser la hack géant destiné à mettre à genoux l’industrie pharmaceutique responsable d’une entente sur les prix, et donc de la mort de milliers de patients sans ressources. Mais cette entente n’est que la pointe émergée d’un iceberg que le groupe 9 entreprend de démasquer, une entente planétaire de tous les réactionnaires pour régenter les populations. Pendant que les 7 hackers traque les populistes et leurs sbires, Maya, injoignable, ignore tout et fait tout ce qu’elle peut pour sauver une petite réfugiée syrienne.
Je vais redire ici tout le « bien » que je pense du style de Marc Levy, un style facile à lire, certes, mais plein d’emphases malvenues et de tournures de style tape-à-l’œil. Ca n’a l’air de rien, mais au fil des pages ça alourdit considérablement une intrigue qui en plus, à tendance à partir un peu en vrille. J’avoue que j’étais pressée de terminer, tant cela devait complexe et embrouillé sur la fin. Finalement, les aventures de Maya en Turquie, non pas qu’elles soient plus crédibles, ont l’avantage d’être lisible, simples à comprendre et relativement intéressantes, et elles ont l’avantage de montrer les camps de réfugiés syriens de l’intérieur et sans fards. Pour le reste, on vire au complotisme XXL, mais ici, les complotistes sont les comploteurs, ce qui est à défaut d’être supr-crédible, est assez réjouissant. En réalité, Marc Levy prend le pari de faire de touts ceux qui crient au complot à tout bout de champs les comploteurs en chef. Ce qui bizarre (et un peu ridicule), c’est que Marc Levy prend grand soin de modifier tous les noms propres juste un peu pour qu’on les reconnaisse : Steve Bannon, Cambridge Analatica, Boris Johnson, Jared Kushner, Facebook, Fox News, Mark Zuckerberg, tous sont renommés de façon parfois un peu ridicule. Et puis étrangement, Trump ou Netanyahou ou encore Breibart garde, eux, leur vrais nom… Du coup, on se retrouve devant un livre de fiction qui donne l’impression de dénoncer, mais pas trop, ou de faire de la pure fiction, mais pas trop… C’est une espèce de zone grise qui, je le redis, fonctionne bizarrement. J’ai lu ce second tome parce que je voulais boucler la boucle et pourvoir donner mon avis à la personne qui m’a gentiment prêté les romans, mais je ne suis pas convaincu par cette histoire de hackers qui piratent tous les systèmes les plus sécurisés au monde avec une facilité désarmante. Levy use et abuse des termes techniques (au risque de nous larguer par moment) : est-ce de la documentation solide sur le sujet ou de l’esbroufe pour impressionner les néophytes ? Dans le doute, n’étant pas une spécialiste, je vais considérer qu’il se place, comme pour son intrigue, dans une sorte de zone grise assez commode : à moitié crédible, à moitié pas…
Tels des Robin des bois de l’ère numérique, les membres du Groupe 9 réalisent leur premier exploit. En introduisant divers virus, malwares et autres bots, dans des circuits informatiques, ils parviennent à dérober plus de 250 millions de dollars à diverses banques et autres milliardaires peu sympathiques et à les reverser à plusieurs milliers de gens lésés par ces derniers. Pendant ce temps, à Istambul, Maya, partie à la recherche d’une petite réfugiée syrienne porteuse de documents aussi compromettants pour les ripoux oligarques que les célèbres « Panama papers », est repérée par les services secrets turcs et traquée dans la nuit, d’abord en voiture, puis à pied dans la campagne, à travers champs et forêts. Elle finit par leur échapper miraculeusement et par se cacher dans un camp de réfugiés syriens. Parviendra-t-elle à trouver une aide assez efficace pour pouvoir être ex-filtrée du pays ? Le Groupe 9 pourra-t-il récupérer les documents et confondre tous ces fauves prêts à dévorer l’humanité ?
« Le crépuscule des fauves » est le deuxième tome d’une saga d’aventures et d’espionnage qui s’annonce longue et pas particulièrement passionnante. Après la présentation des personnages du premier opus, le lecteur espère entrer dans le dur dans celui-ci. Malheureusement, même arrivé à la dernière page, on sent que l’on est encore fort loin du dénouement, même si quelques miettes, qu’on ne déflorera pas, sont jetées à la toute dernière page sur l’identité du mystérieux neuvième comparse. L’auteur tente de décrire les menées secrètes des oligarques, leur désir d’imposer un nouvel ordre mondial basé sur un crédit social à la chinoise, leur emprise sur les médias, les fake-news, le poids des réseaux sociaux, les psy-ops, les inversions accusatoires et la corruption généralisée. Mais sans doute de peur d’être taxé de complotisme, il ne va jamais au fond des choses et prend bien soin de toujours se maintenir sur le droit fil de la pensée unique en imputant toutes ces turpitudes aux seuls « méchants » patentés du narratif officiel. (Trump, mais également Nigel Farrage que l’on reconnaîtra aisément sous le pseudo de « Garbage », « ordure », Murdoch sous celui de « Berdoch », voire Zuckerberg, relooké en « Sucker »). La narration, se dispersant sur chacun des personnages, manque de cohérence, de punch, de suspens et même parfois de vraisemblance. Un troisième tome est déjà paru. Lévy poussera-t-il le bouchon jusqu’à en tartiner 9 ? Le lecteur risque de vite se lasser des bricolages numériques de cette charmante bande de rocambolesques pirates du net…
En 2020, Marc Levy a opéré un changement dans les sujets de ses livres grâce à sa série « 9 ». En effet, on est bien loin des comédies sentimentales que nous connaissons tous, comme « Et si c’était vrai? », « Nos amis, nos amours » ou encore « 7 jours pour l’éternité » pour ne citer que ces titres.
En effet, avec cette saga « 9 », il nous plonge dans des thèmes très actuels comme ceux des réseaux sociaux, de la cybercriminalité, des lanceurs d’alertes,… « Le crépuscule des fauves » est le second tome de cette série initiée par « C’est arrivé la nuit ».
S’il y a bien une série dont il est plus qu’important de suivre l’ordre chronologique et de ne pas sauter la lecture d’un des tomes, c’est bien celle-ci!
Pour les impatients, comme moi, sachez que le tome 3 sortira en avril de cette année !
En ce qui concerne cedit livre, on retrouve la même bande de génies informatiques qui, même s’ils ne se connaissent qu’à travers des écrans interposés, mènent une guerre commune sans merci contre les grands criminels économiques. Après des années, c’est le temps de la rencontre dans le monde réel afin de contrecarrer leurs plans.
Ce second tome est aussi captivant et addictif que son prédécesseur. L’enquête se déroule sur des chapeaux de roue. En compagnie de ces huit personnages (parfaitement ficelés), on parcourt le monde où manipulations et menaces sont multiples et viennent de tous côtés afin de les faire taire.
Alors que ce monde de l’informatique présente de nombreuses spécificités, tout est clairement explicité. Bien que je sois une quiche en la matière, je me suis laissée conduire sans trop de difficultés. Il est certain que Marc Levy a su s’entourer de véritables génies en la matière et que les recherches en vue de la rédaction de cette série ont dû être nombreuses.
Pour ma part, une fois la rencontre opérée entre les différents protagonistes, j’ai trouvé que ce tome était plus « technique » que le précédent qui était lui plus centré sur l’introduction des différents héros.
Ce tome 2 est paru en format « poche », il y a peu de temps (20/01/2022) aux Editions Pocket.
J'ai beaucoup aimé ce tome 2 et j'attends avec impatience la suite de cette intéressante et captivante trilogie. Je ne sais pas si la réalité dépasse la fiction; si tel est le cas cela est effrayant pour le devenir de l'humanité.
… RIEN D'IMPOSSIBLE ?
A la fin du premier tome, les membres du "Club des 9" recevaient un message leur demandant de venir toutes affaires cessantes à Kiev, chez l'un d'entre eux, Vitalik, brisant ainsi l'interdit qui les tenaient jusqu'alors éloignés les uns des autres, cachés dans l'anonymat du net. C'est qu'il y a urgence : les puissants, dans le camp du Mal (avec un grand M), les fauves, fomentent, dans le plus grand secret, un plan pour s'approprier rien moins que le monde ! Les ressources de la Terre, les richesses qu'elles génèrent mais pire encore, l'humanité elle-même, lui dictant ce qu'elle doit penser, acheter, pour qui voter... Un complot que doivent déjouer nos hackers alors que l'une d'entre eux manque à l'appel, Maya, disparue en Turquie, Maya qui avait reçu une mission très particulière et de la plus haute importance... Une mission très dangereuse confiée par 9 dont on fera connaissance à la fin de ce tome .
Afin de contrer les "forces du Mal", les hackers mettent en commun leurs savoirs pour imaginer une contre-attaque redoutable.
Comme le premier volet, il s'agit d'un véritable page-turner efficace. Il y a même davantage d'action que dans le précédent, et nous accompagnons nos amis à Rome, Londres, Jersey, à Kiev, Tel Aviv, Istanbul... (très bon point pour mon tour du monde littéraire !).
Un petit bémol tout de même, la pluralité des sujets évoqués qui donne un peu l'impression d'un empilage finalement contre-productif. L'auteur aurait pu choisir deux ou trois thèmes principaux (l'industrie pharmaceutique, les relations troubles entre la presse et le pouvoir, l'influence néfaste de certains réseaux sociaux) qui auraient, chacun, suffit à lui-même, sans y ajouter nécessairement l'écologie, la guerre en Syrie, et autres...
Néanmoins, si on y réfléchit, tous les sujets évoqués (mais parfois trop survolés) sont terriblement actuels et ce qui est décrit par l'auteur s'est déjà produit.
Je lirai donc le troisième tome bien que la fin du "Crépuscule des Fauves" aurait très bien pu terminer les aventures des 9.
Le crépuscule des fauves rattrape un peu le premier volume de cette trilogie des 9. Maintenant que les personnages sont présentés et que les relations se sont établies entre eux - c'est coup de foudre sur coup de foudre et cela me laisse toujours dubitative au coeur d'un récit qui se veut à suspens autant d'histoires d'amour - l'action commence vraiment à se mettre en place. Plus que l'action, le point intéressant est, pour moi, l'envers du décor d'internet et tout ce que cela entraîne pour des individus lambda de se connecter à son gps, aux réseaux sociaux, etc. On a beau connaître les dangers du Net, les voir détaillés par le menu et l'usage qui peut en être fait est plus qu'inquiétant. Pour l'histoire je n'ai pas vraiment adhéré à l'intrigue qui brasse un peu tous les sujets : le pouvoir politique, les paradis fiscaux, les migrants, la Syrie, les réseaux sociaux. Même si le monde est une immense toile d'araignée, à trop de fils, on s'y perd.
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