80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les 24 et 25 février 1899, la foule grouille devant le palais de justice de Toulouse. Marguerite Bardy et Marie Gaillard, des femmes de « mauvaise vie » rebaptisées les « étrangleuses de la rue Aragon » par la presse, doivent répondre des crimes de vol et d'assassinat. Une affaire hors norme dans le paysage judiciaire français de la Belle Époque. Rares sont les femmes qui comparaissent alors devant une cour d'assises pour des homicides crapuleux. Dans un environnement policier, judiciaire et médiatique accaparé par les hommes, sont-elles des criminels comme les autres ? Pourquoi le public féminin venu assister aux débats est-il stigmatisé ? Quelle mémoire les « étrangleuses » ont-elles laissée dans la cité ?
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