Journée des droits des femmes #8mars #JIF #JourneeDesFemmes 2018 #IWD
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Entretien avec Dominique Bourgois, directrice des éditions Christian Bourgois
La prise de Rome, le destin de Louis XVI ou la ruée vers l’or, quoi de plus passionnant. De l’action, des intrigues, des rebondissements, plus qu’un peplum, la littérature en offre à foison. Allons à l'essentiel...
Partons à la découverte de Toni Morrisson, autrice américaine 1931-2019, au travers de son roman « Un don ».
Toutefois c’est grâce à « Beloved » qu’elle a assis sa réputation, couronné en 1988 du Prix Pulitzer. Elle obtient le Prix Nobel de littérature en 1993.
Notre histoire nous emmène en Virginie à la fin du XVIIème siècle, dans une Amérique en construction. Les premières colonies se forment. Du vieux continent une population hétéroclite, formée de volontaires en quête d’aventures et de fortune, mais aussi de tous les indésirables, brigands, prostitués, enfants non voulus vendus, débarque sur ce nouveau territoire. Les pionniers doivent « défricher » au propre comme au figuré, chassant les autochtones ou se les asservissant pour créer leur domaine. Se regroupant, bien souvent, autour de communautés religieuses aux règles très strictes caractérisées par une étroitesse d’esprit.
Jacob Vaark, colon néerlandais d’origine modeste, a hérité d’un parent de façon inattendue. Il essaie de développer une petite ferme avec plus ou moins de réussite, il possède plus d’appétence pour le négoce. Pour pallier sa solitude et gérer l’exploitation, il souhaite acheter une épouse vierge et en bonne santé. C’est ainsi que Rebekka, jeune anglaise de 16 ans vendue par son père entre dans sa vie. Le couple, non conformiste, compte bien organiser leur petite affaire selon leurs idées et s’affranchit de toutes doctrines religieuses. D’un esprit assez large, ils vont fonder une sorte d’arche de Noë, ils s’entourent de trois jeunes femmes, domestiques plus qu’esclaves, Lina servante amérindienne, seule survivante de sa tribu, qui deviendra une sorte de gouvernante, Sorrow une métisse naufragée et Florens jeune enfant d’origine africaine, troquée suite à une dette d’un planteur de tabac envers Jacob.
Toni Morrisson donne, tour à tour, la parole à chaque personnage et nous dépeint des portraits bouleversants ballotés dans cet univers hostile. Par petites touches successives, chaque protagoniste apporte sa petite pierre à l’histoire du domaine. Une fine étude de la servitude, des liens mères-enfants et plus généralement des mœurs de l’époque en cette Amérique naissante.
Avec Toni Morrison, je suis un homme noir, rentré de la guerre de Corée, perdu, victime de racisme, protecteur avec sa jeune sœur, dans l’Amérique des années 50.
Juste la vie.
Harlem, 1926. Joe assassine sa jeune maîtresse sous les yeux de sa femme. Ce drame rouvre de vieilles blessures et replonge les époux dans leur passé récent de noirs dans le sud des États-Unis.
Que dire, sinon que je n'ai pas du tout accroché, et c'est la première fois que cela m'arrive avec un roman de Toni Morrison. J'en suis d'autant plus déçu que le sujet et la période m'intéressent beaucoup.
La faute d'abord à l'écriture (et sans doute un peu à la traduction), un peu trop ampoulée à mon goût, comme si l'autrice avait voulu mettre une sorte de barrière devant le lecteur.
La narration comporte ensuite beaucoup de digressions, de passages consacrés à des personnages ou des faits secondaires. Je m'y suis perdu.
J'ai tenté de persévérer, mais je n'ai pas réussi à dépasser le premier quart. J'ai tristement abandonné...
Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2024/05/07/jazz-de-toni-morrison-chez-1018-tristement-abandonne/
Un thème grave, une histoire non moins dramatique et une lecture dure.
Le flash back entremêle les souvenirs des uns et des autres, le vécu et l’imaginaire, l’oublié et le remémoré, la raison et la folie.
L’écriture sert l’idée, la phrase se soumet à l’oral, le récit à l’esprit.
S’il est parfois rien moins que facile à suivre, le cours de l’histoire emporte comme un flux qui noie, refoule et laisse sur le bord, puis reprend. L’émotion étreint et désempare.
anne.vacquant.free.fr/av/
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