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Tommy Wallach

Tommy Wallach

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Avis sur cet auteur (6)

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    Couverture du livre « Si c'est la fin du monde » de Tommy Wallach aux éditions Nathan

    Emma Vando sur Si c'est la fin du monde de Tommy Wallach

    Parmi mes dernières lectures on compte: Si c'est la fin du monde, de Tommy Wallach chez Nathan Édition.
    Ce livre est un ancien de ma PAL qui m'a toujours attiré mais en même temps je n'avais pas d'attentes particulières. Je n'arrive pas encore a mettre des mots sur cette lecture, ce n'est pas...
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    Parmi mes dernières lectures on compte: Si c'est la fin du monde, de Tommy Wallach chez Nathan Édition.
    Ce livre est un ancien de ma PAL qui m'a toujours attiré mais en même temps je n'avais pas d'attentes particulières. Je n'arrive pas encore a mettre des mots sur cette lecture, ce n'est pas une très bonne lecture, ce n'est pas une déception... C'est un entre deux.

    Nous suivons quatre personnages, tous décrit selon des stéréotypes : Peter l'athlète, Anita l'intello, Andy je-m'en-foutiste et Eliza l'impopulaire. Lorsque une météorite apparait et menace de détruire la terre, deux chances sur trois, plus rien n'est comme avant.

    J'ai eu du mal avec la première partie du roman: on joue sur les clichés oui, mais parfois un peu trop, certains axes ne sont pas aboutis selon moi. Par contre j'ai beaucoup aimé la seconde partie du roman, beaucoup plus addictive selon moi, j'ai vraiment réussi a m'attacher aux personnages et à leurs problématiques. Et j'ai bien aimé la fin, qui me faisait le plus peur: j'avais peur de l'effet soufflé, une seconde partie super pour une fin qui retombe, décevante. Ca n'a pas été le cas, heureusement, et c'est ce qui en fait une bonne lecture selon moi. Les personnages se posent tous des questions super intéressantes, que j'ai aimé découvrir, ils ont tous un parcours sympa, en moins de deux mois ils changent.

    Maintenant, je reste avec ce gout un peu amère, j'ai l'impression que quelques axes sont mal traités, pas assez aboutis à mon goût et laisse un peu sur sa faim.
    J'en garde quand même un bon souvenir, la seconde partie sauve en quelque sorte toute l'histoire, et les personnages sont au final assez attachants.

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    Couverture du livre « Si c'est pour l'éternité » de Tommy Wallach aux éditions Nathan

    Lunartic sur Si c'est pour l'éternité de Tommy Wallach

    Ou quand une fille vraiment pas comme les autres débarque dans votre vie pour tout y chambouler...

    Tout d'abord, une fois n'est pas coutume, je remercie du fond du cœur les éditions Nathan pour cet envoi, ainsi que pour tous les autres reçus ces derniers temps. C'est tellement merveilleux que...
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    Ou quand une fille vraiment pas comme les autres débarque dans votre vie pour tout y chambouler...

    Tout d'abord, une fois n'est pas coutume, je remercie du fond du cœur les éditions Nathan pour cet envoi, ainsi que pour tous les autres reçus ces derniers temps. C'est tellement merveilleux que je me crois être une gamine ouvrant ses cadeaux de Noël à chaque fois. Cette confiance que placent en moi diverses maisons d'édition m'émeut au plus profond et m'honore grandement, je tenais à le rappeler une fois de plus.

    Mais cessons cette sentimentalité dégoulinante de bons sentiments (qui n'en restent pas moins sincères) pour nous concentrer sur le vif du sujet. Cependant (comment je détourne votre attention en cinq secondes chrono), dans un premier temps, regardez moi cette couverture : n'est-elle pas d'une beauté sans pareille ? Pour une fille comme moi qui a le regard accroché dès qu'elle voit quelque chose de délicieusement rétro, c'était une sacrée aubaine.

    Si cette tapisserie en arrière-plan vous rappelle celle détestable et old-fashioned de l'intérieur de vos grands-parents, moi, elle m'a directement happée dans cet univers d'hôtels californiens (Non, ne vous mettez pas cette chanson dans la tête à cause de moi !) datant du début vingtième qui ont l'air de receler de mystères ; façon American Horror Story - Hotel mais sans les meurtres et les fantômes ; et qui ont su conserver leur charme d'antan imparable.

    Et cette grande élégance presque majestueuse se dégage également fortement du personnage principal de cette histoire improbable, mais à laquelle j'ai cru jusqu'au bout des ongles et du parcours, à savoir : Zelda Toth, qui se prétend immortelle depuis presque deux cent cinquante ans. Non, non, je n'invente rien. Cette fille, cette nana super géniale que j'adore du plus profond de mon petit cœur pour son côté bizarroïde et toutes les anecdotes passionnantes qui sortent de sa bouche dès qu'elle parle, est vraisemblablement celle qui crève l'écran d'encre et de papier au cours de cette virée, au savant goût d'adolescence et donc d'âge ingrat, rocambolesque, qui n'aura duré qu'une poignée de jours.

    On a beau nous le remettre en mémoire au cours du découpage des chapitres en grosses lettres bien grasses et bien évidentes à remarquer, moi, en lisant ce roman, j'avais plus l'impression de connaître Zelda, l'immortelle sans qu'on sache véritablement comment (pour ceux qui crissent les dents à l'idée de "vampire", pas d'inquiétude donc), depuis des années et de l'avoir suivie jusqu'au bout du monde dans sa cavalcade depuis bien plus longtemps que la durée d'un "simple" long week-end.

    Car ici, ce sont bien quatre jours de pure folie que nous fait vivre l'auteur. Et quel tourbillon de décadence et de bonheur éphémère et délicieux au sein de la si belle ville de San Francisco, elle aussi personnage-clé de l'histoire, vibrante de vie et qui va prendre les personnages par la main et les accompagner jusqu'à la fin inéluctable de cette incroyable virée shopping, cinéma avec bagarre en prime à la machine à pop-corn pour pimenter votre séance, Golden Gate Bridge (lieu incontournable bien entendu) ou encore préparation de dossiers de fac à la bibliothèque du lycée même un dimanche !

    Oui, on se demande ce que cette activité saugrenue vient faire dans le programme de rêve de nos deux ados paumés et en quête de LA chose qui donnerait envie de vivre pour toujours, sans jamais lasser. C'est ça qu'est capable de pondre Zelda de son esprit si cultivé et altruiste, profondément humain après tout ce qu'elle a traversé, vécu intensément, l'amour comme les guerres et le chagrin.

    C'est un personnage au lourd passif et à l'expérience de vie qui impressionne et qui enrichit votre réflexion sur le sens de votre existence et ce que vous souhaitez en faire. Zelda vous fait reprendre votre vie en main et y apporte couleurs, exubérance et gaité sans en attendre la pareille car elle en a assez vu et c'est la touche finale, la cerise sur le gâteau au spectacle théâtral de son existence, digne du personnage qu'elle s'est forgé, avec sa longue chevelure argentée, sa façon de s'exprimer et d'être à la Zelda Fitzgerald, née Sayre, son accent sudiste qui sonne de façon exquise à mes oreilles dès que je l'entends et la façon dont ses yeux et tout ce qui la constitue brillent et vibrent à l'idée de vivre une adolescence 2.0., bien loin de l'année 1770 où elle est née.

    Et Parker Santé (belle trouvaille pour le nom de famille !) n'est pas en reste non plus. Nous aussi, simples mortels, nous pouvons nous révéler intéressants. Ce garçon nonchalant, je-m'en-foutiste à l'extrême et voleur à ses heures perdues peut vous sembler très antipathique et fade face à la magnifique Zelda qui rayonne sur chaque personnage qu'elle rencontre (le lecteur y compris) de prime abord mais, pour ma part, je me suis instantanément attachée à lui, dès les premières pages, lors de cet instant mémorable et gravé dans les annales où, assis seul comme un imbécile à une table d'hôtel en buvant un café noir sans sucre, car la vie est déjà bien assez mièvre et édulcorée comme ça sans en devoir en rajouter, il vit une fille de son âge incarnant la tristesse parfaite, l'exprimant de tout son être, tous ses pores la laissant transparaître, sortir une liasse de billets verts avec Benjamin Franklin dessiné dessus et vous narguant de loin.

    Et elle arrive à oublier la fameuse liasse sur sa table. Si ce n'est pas une invitation à profiter de cet argent avec elle, alors je ne sais pas ce que c'est. Cette scène d'intro et tout ce qui va en découler peut sembler digne d'un film, complètement fictif de bout en bout, mais le fait d'avoir vécu tout cela avec ces deux personnages si bien assortis, si étonnamment complémentaires, deux personnalités bien trempées et si uniques, dans le contraste saisissant entre eux, qui s'apportent énormément de soutien l'un à l'autre, ça m'a fait d'autant plus adhérer à cette histoire qui, sous son apparence fantastique qui peut sembler assez incongrue, mais en réalité parfaitement justifiée, traite de sujets très sérieux et qu'il est toujours difficile d'aborder, et ce à n'importe quel âge : la dépression, celle de la mère alcoolique de Parker, qui vit continuellement dans les souvenirs heureux du passé, et de ce dernier, enfermé dans l'action d'écrire, qui le relie à feu son père écrivain de profession ; le suicide, cette envie qui pousse Zelda à quitter ce monde une fois que sera mort son second mari, Nathaniel, qui, lui, est mortel, je le précise ; et enfin bien sûr le deuil de ceux qui nous sont chers.

    J'ai trouvé que Tommy Wallach a réussi à faire cela de façon remarquable, incroyablement ingénieuse et originale. D'une part, il fait parler directement son jeune héros à travers la narration, qui nous immerge dans le dernier carnet en date de Parker, aligneur de mots professionnel depuis qu'il a pris la décision de ne plus parler, qui décide de nous faire part de l'événement le plus marquant de sa vie (et quel événement !). S'ajoute à cela des récits, des petites nouvelles nées de l'imagination épatante de Parker, qui sous-estime beaucoup trop son talent.

    Avec Zelda pour muse et mécène, il invente des courtes histoires des temps anciens des chevaliers, des royaumes lointains et des créatures magiques peuplant les bois dignes des contes de fées de notre enfance. D'ailleurs, à bien y réfléchir, ce roman a clairement l'apparence d'un conte, à la saveur douce-amère splendide et qui nous balance notre cœur en boule dans un coin, empli de sentiments différents à la fin de ce voyage presque hors du temps. Néanmoins, tout cela est fait avec une grande douceur à la texture de cocon douillet. Je peux donc sans conteste qualifier cette parution de lecture doudou, de livre de chevet dont je ne veux pas me séparer.

    Qui plus est, la plume de ce jeune écrivain en herbe est mordante, cynique à souhait, très humoristique et pleine d'auto-dérision, agréable à lire et amusante, vu que Parker ne cesse d'insérer son ressenti direct sur ce qu'il nous raconte entre parenthèses, presque comme des didascalies de pièce de théâtre, ce qui nous donne un récit extrêmement dynamique, vivant et captivant, où le personnage laisse bel et bien sa propre empreinte. « All the world's a stage / And all the men and women merely players, [...] » comme le disait si bien l'ami Shakespeare, et je suis sûre que Zelda et Parker auraient approuvé cette citation. Oui, oui.

    Quant aux paroles de sagesse et de réflexion sur la vie et la mort et les "désagréments" encourus entre les deux, là, c'est Zelda qui s'en charge. Dès que ses somptueuses lèvres (c'est pas moi qui le dis !) s'entrouvrent, que ce soit face à Parker et à ses camarades de classe, que j'ai adorés eux aussi et qui vont apprendre à mieux connaître ce dernier et à devenir ses amis grâce à cette drôle de fille au charisme dingue et qui est la classe incarnée, ou bien encore face à la mère de notre chouchou, complètement à la dérive au vu de sa façon de percevoir le monde (on est tous un peu largués à ce niveau-là je pense), ce sont des propos lucides et percutants qui en sortent, qu'on se prend en pleine figure tel un enfant qui se ferait sermonner par sa maman et dont on tire de sacrées leçons.

    En bref, je ne peux que vous encourager à ouvrir ce roman et à laisser ses pages vous emporter. La plume accrocheuse et inventive de Tommy Wallach fera opérer sa magie. Moi qui n'ai pas lu son premier roman, dont les avis dithyrambiques à son propos sont très alléchants, Si c'est la fin du monde, maintenant que j'ai découvert la plume et l'imagination foisonnante et excitante de cet auteur, j'en veux encore !

    En attendant impatiemment le troisième roman qui naîtra de sa tête regorgeant de jolies surprises, je vais me rassasier avec ce premier best-seller, qui me fait encore plus de l'œil qu'avant. En tout cas, pour parler de ce avec quoi je suis déjà familière, je vous recommande mille fois Si c'est pour l'éternité ou Thanks for the trouble en anglais.

    Effectivement, ça valait bien la peine de se déranger pour lire cet ouvrage, d'accorder du temps à cette pépite d'or qui m'a rendu le cœur plus léger avec cette plume explosive et cet humour qui m'a définitivement conquise, et plus lourd tout à la fois, avec cette histoire d'amour, cette rencontre incroyable de deux destins de personnages extraordinaires, qui va bien au-delà du romantisme bafouillant et mignon dans ses imperfections flagrantes des adolescents, qui nous dépasse et qui nous fend le cœur en deux tout comme elle nous éblouit grâce à sa sincérité touchante et ses confidences désarmantes. Et je peux vous l'assurer, mon histoire d'amour avec ce livre durera pour l'éternité, c'est certain !

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    Couverture du livre « Si c'est la fin du monde » de Tommy Wallach aux éditions Nathan

    Marylou Yvon sur Si c'est la fin du monde de Tommy Wallach

    Résumé :
    Alors que la fin de la terminale approche pour Peter, Anita, Andy et Eliza, une météorite apparaît dans le ciel : elle a deux chances sur trois de percuter et de faire exploser la Terre, deux mois plus tard. Dès lors, l'avenir n'a plus la même importance, et les délits commencent à se...
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    Résumé :
    Alors que la fin de la terminale approche pour Peter, Anita, Andy et Eliza, une météorite apparaît dans le ciel : elle a deux chances sur trois de percuter et de faire exploser la Terre, deux mois plus tard. Dès lors, l'avenir n'a plus la même importance, et les délits commencent à se multiplier.

    Mon avis sur le livre :

    j'ai bien aimé le livre, les chapitres sont divisés par personnage un chapitre correspond à un personnage j'ai beaucoup aimé cette disposition. L'histoire est super, on s'attache aux personnages.

    Je recommande ce livre !

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    Couverture du livre « Si c'est la fin du monde » de Tommy Wallach aux éditions Nathan

    Felina sur Si c'est la fin du monde de Tommy Wallach

    Le postulat de départ du roman est dans son titre, et si c'était la fin du monde. Sans la désirer, chacun d'entre nous a bien imaginé au moins une fois - suite à une lecture, un film, une discussion, une pensée - ce qu'il se passerait dans ce cas-là. Mon opinion est faite, et ça ne serait...
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    Le postulat de départ du roman est dans son titre, et si c'était la fin du monde. Sans la désirer, chacun d'entre nous a bien imaginé au moins une fois - suite à une lecture, un film, une discussion, une pensée - ce qu'il se passerait dans ce cas-là. Mon opinion est faite, et ça ne serait probablement pas tout rose. Sachant que l'homme est un loup pour l'homme, je crois que Tommy Wallach n'est pas loin de cette réalité.
    En lisant ce roman apocalyptique, le lecteur ne peut s'empêcher de se remémorer U4, série au concept pour le moins original - retrouvez mes avis sur "Yannis" et "Stéphane" - même si cette vision de fin du monde n'a pas la même origine. Dans cette histoire, le lecteur suit l'évolution de quatre adolescents, un brin stéréotypés, confrontés à cette perspective: Peter le sportif, Anita l'intello de service, Andy le mauvais garçon, et Eliza la fille facile. Tous d'univers différents, chacun envisage les choses à son niveau, planifie le reste de sa vie (du moins les deux prochains mois) et surtout prend conscience, à sa façon, que rien n'est éternel. Carpe Diem.
    Tommy Wallach instaure progressivement la fin du monde, et effectivement cela n'en a pas que le nom. La violence va en augmentant, entre agressions et casses, tout est en cours de destruction. La pression monte avec régularité, les gangs prennent le pouvoir et chacun envisage sa mort de façon plus ou moins différente. Mais il manque quelque chose, un peu plus d'action peut-être. L'étude psychologique de nos quatre héros, ça va bien 5 minutes. Au fil de la lecture, le lecteur se rend compte alors que l'auteur n'a pas placé son récit sur la fin du monde en tant que telle, mais plutôt sur les réactions et les choix d'adolescents types, face à une fin imminente.
    Par contre, certaines réactions sont juste énervantes, le lecteur a par moment, une irrésistible envie de coller une soufflante à certains protagonistes. A part ça, tout va bien. Un autre point qui interroge est le stoïcisme des personnages face à l'approche de l'astéroïde Ardor - ben oui, elle a un nom, l'Homme a besoin de nommer toutes choses. le dénouement manque un peu d'intensité, et laisse le lecteur sur sa faim. C'est le moins que l'on puisse dire. (...)

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