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Lorsque j’ai commencé la lecture des premières pages de ce livre, je me suis dit que si l’ensemble du livre était comme ce premier chapitre, je n’irai pas bien loin. Le livre ne fait que 100 pages, donc je pense que je serais tout de même allée au bout, mais sans plaisir.
Concrètement, je n’ai pas compris ce que je lisais. Des phrases très longues avec des mots compliqués, tout du moins, que je n’ai pas l’habitude de rencontrer dans mes lectures.
Et puis au fil des chapitres suivants, on revient au fur et à mesure dans un « monde réel », je comprends ce que je lis, avec des phrases plus simples. C’est beaucoup plus agréable à lire.
Chaque chapitre est construit comme une courte histoire, mais avec fil conducteur entre chacun.
Le fond général de l’histoire est assez difficile, on rencontre des personnages qui sont persécutés, qui subissent des horreurs dans l’ombre, dans l’impunité totale.
Pour résumer, je dirais que c’est une lecture assez difficile, mais à laquelle il est important de s’accrocher. Je pense que pour en profiter pleinement, Le Monde des rescapés nécessite au moins une seconde lecture.
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