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Stuart Turton

Stuart Turton
Stuart Turton a une maîtrise d'anglais et de philosophie. Touche-à-tout, qui ne prévoit rien à l'avance, il a notamment enseigné l'Anglais à Shanghai, rédigé des chroniques de voyage à Dubaï, et travaillé pour un magazine de technologie à Londres. Les Sept Morts d'Evelyn Hardcastle, son premier r... Voir plus
Stuart Turton a une maîtrise d'anglais et de philosophie. Touche-à-tout, qui ne prévoit rien à l'avance, il a notamment enseigné l'Anglais à Shanghai, rédigé des chroniques de voyage à Dubaï, et travaillé pour un magazine de technologie à Londres. Les Sept Morts d'Evelyn Hardcastle, son premier roman, a été désigné comme un must read par les magazines Style, Harper's Bazaar et Marie Claire. Vendu à plus de 150 000 exemplaires en Grande-Bretagne il a remporté le prix Costa du meilleur premier roman en 2019, attribué pour la première fois à un roman policier. Il a rencontré un fabuleux succès chez 10/18.

Avis sur cet auteur (18)

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    Couverture du livre « Dernier meurtre au bout du monde » de Stuart Turton aux éditions Sonatine

    Zazaboum sur Dernier meurtre au bout du monde de Stuart Turton

    J’ai lu et vraiment apprécié “Les sept morts d'Evelyn Hardcastle” et le second roman est sur ma liste. Je m’attendais évidemment à quelque chose que l’on pourrait qualifier de “tordu”, ce qui est la marque de fabrique de l’auteur.

    Ici il a été assez difficile de découvrir où était tapie la...
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    J’ai lu et vraiment apprécié “Les sept morts d'Evelyn Hardcastle” et le second roman est sur ma liste. Je m’attendais évidemment à quelque chose que l’on pourrait qualifier de “tordu”, ce qui est la marque de fabrique de l’auteur.

    Ici il a été assez difficile de découvrir où était tapie la bizarrerie, hors apocalypse et brouillard carnivore, s’entend !

    Une île isolée, des ruines plus ou moins aménagées par la grosse centaine d’habitants, où règnent l’harmonie et la paix et protégées par un système de sécurité, géré par les Anciens. Tout est codifié pour protéger cet équilibre et “une voix dans leur tête” est là pour veiller au bon déroulement.

    Cette voix et cette vie codifiée sont plutôt déstabilisantes à la lecture et le début semble de ce fait assez brouillon, l’auteur distillant au compte-gouttes les indices.

    Et dans cette routine, un meurtre ! Le grain de sable, le loup dans la bergerie, un cheveu dans la soupe ou ce que vous voudrez et c’est la porte ouverte aux impasses et rebondissements, découvertes et autres mystères qui s’épaississent !

    Une ambiance à couper au couteau, des étrangetés arrivent en catimini et finissent par s’imposer. La tension monte non seulement pour les habitants mais aussi pour les lecteurs accrochés !

    Il y a un temps imparti pour résoudre l’enquête sur le meurtre car la fin du monde approche à la vitesse du brouillard.

    Jusqu’au bout je n’ai pas réussi à me prononcer sur les personnages principaux, sur ce qu’ils sont ou paraissent être ; sur la réalité de ce qui nous est communiqué ! Bref, du bluff jusqu’au bout !

    Ce n’est pas une lecture de tout repos, tant l’auteur nous pousse à réfléchir et à déduire... sans succès ! Des nœuds au cerveau mais une lecture agréable pour qui aime les énigmes et les puzzles !

    #Derniermeurtreauboutdumonde #NetGalleyFrance

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    Couverture du livre « Dernier meurtre au bout du monde » de Stuart Turton aux éditions Sonatine

    Kamiyu-chan sur Dernier meurtre au bout du monde de Stuart Turton

    « Comme demandé, j’ai dressé une liste des personnes dont la vie, ou la mort, seront nécessaires à la réussite de ton plan. Observe-les attentivement. Elles ont toutes un rôle à jouer dans ce qui se prépare. »

    Le monde tel que nous le connaissons n’existe plus. Un brouillard mortel a...
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    « Comme demandé, j’ai dressé une liste des personnes dont la vie, ou la mort, seront nécessaires à la réussite de ton plan. Observe-les attentivement. Elles ont toutes un rôle à jouer dans ce qui se prépare. »

    Le monde tel que nous le connaissons n’existe plus. Un brouillard mortel a recouvert la planète, semant la mort sur son passage et décimant l’humanité, à l’exception d’une île où, tel un Eden futuriste, la vie est idyllique. La paix et l’harmonie règnent chez les 122 habitants… jusqu’au jour où l’un d’eux est retrouvé assassiné. Si le coupable n’est pas retrouvé dans les 107 heures, la barrière qui protège l’île du brouillard disparaîtra, anéantissant ainsi ce qu’il reste de l’humanité. Emory et sa fille Clara décident de mener l’enquête.

    Stuart Turton a un don pour écrire des histoires complexes et originales. Dans ce thriller d’anticipation, il reprend les mécanismes narratifs utilisés dans ses précédents romans avec une enquête sous forme de puzzle où le lecteur est invité, presque comme s’il était dans un jeu de rôle, à explorer le labyrinthe de l’intrigue à la recherche d’indices, tentant de démêler les mystères de ce nouveau monde complexe et d’assembler les différentes pièces du puzzle.

    Même s’il y a des longueurs, avec de nombreux détails et descriptions permettant de bien planter le décor et de présenter cette société postapocalyptiques, l’intrigue, bien que parfois un peu répétitive, se lit vite et reste plaisante.

    Entre rebondissements, secrets enfouis, mystères, technologies futuristes, nouvelles menaces, ambiance postapocalyptique angoissante et personnages intrigants, ce roman, qui oscille entre thriller et science-fiction est un bon divertissement et permet de passer un bon moment.

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    Couverture du livre « Dernier meurtre au bout du monde » de Stuart Turton aux éditions Sonatine

    evergreen13 sur Dernier meurtre au bout du monde de Stuart Turton

    L’apocalypse ne suffit pas
    Il y a presque cent ans, l’humanité disparaissait. Sur la Terre, il n’y a plus âme qui vive, sauf sur cette île, au bout du monde, où s’est installée une petite communauté composée de « villageois » (non non, on ne joue pas au "Loup Garou", promis !) et de trois «...
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    L’apocalypse ne suffit pas
    Il y a presque cent ans, l’humanité disparaissait. Sur la Terre, il n’y a plus âme qui vive, sauf sur cette île, au bout du monde, où s’est installée une petite communauté composée de « villageois » (non non, on ne joue pas au "Loup Garou", promis !) et de trois « anciens » (comprenez des personnes ayant survécu à l’apocalypse, donc d’un âge très vénérable) ; deux femmes, Thea et Niema et un homme, Hephaestus, le fils de Niema ; tous « gouvernés » par Abi, une sorte de conscience collective qui répond à leurs questionnements et les gardent sur le droit chemin. Un brouillard mortel composé de milliards d’insectes carnivores, entoure l’île qui est protégée par une barrière commandée par Niema. Tout ce petit monde vit en parfaite harmonie (mais les villageois meurent inévitablement le jour de leur soixantième anniversaire et le défunt est remplacé le lendemain par un enfant qui a huit ans lors de son arrivée), tout au moins en apparence car dès les premiers chapitres on se rend compte que tout n’est pas aussi idylique… Au point que l’inimaginable va se produire : un meurtre et la désactivation du système qui assure la sécurité de l’île. Dès lors, une véritable course contre la montre se met en place pour trouver le coupable et tenter de tenir le brouillard à distance, tandis que l’harmonie de façade se fissure…
    En ouvrant ce livre je ne savais pas du tout à quoi m’attendre. Je n’avais lu aucun des deux précédents romans de l’auteur mais le thème polar combiné à un univers de science fiction me plaisait. Véritable page turner, ce thriller tient ses promesses, même si je lui reconnais quelques faiblesses (style ou traduction notamment, redites qui nuisent un peu à la fluidité du récit) sur lesquelles je passe volontiers car j’ai été prise au piège par cette intrigue complexe, jusqu’au bout du suspens.
    Je n’oublie pas de remercier chaleureusement NetGalley et Sonatine pour ce plaisir de lecture.
    #Derniermeurtreauboutdumonde #NetGalleyFrance

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    Couverture du livre « L'étrange traversée du Saardam » de Stuart Turton aux éditions Sonatine

    JuanGarciaMadero sur L'étrange traversée du Saardam de Stuart Turton

    M. Stuart Turton, après « Les sept morts d’Evelyn Hardcastle », nous entraîne dans un nouveau mystère avec « L’étrange traversée du Saardam » (« The Devil and the Dark Water » en version originale).

    A priori, nous sommes dans une nouvelle énigme, mais pour les lecteurs du premier ouvrage de...
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    M. Stuart Turton, après « Les sept morts d’Evelyn Hardcastle », nous entraîne dans un nouveau mystère avec « L’étrange traversée du Saardam » (« The Devil and the Dark Water » en version originale).

    A priori, nous sommes dans une nouvelle énigme, mais pour les lecteurs du premier ouvrage de l’auteur, sachez que celui-ci est très différent. Certainement plus abordable, avec une intrigue d’aventure maritime teintée de fantastique plus lisible et moins embrouillée. Le Saardam est un vaisseau de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales, qui quitte Batavia pour rejoindre Amsterdam. A son bord : un gouverneur, sa femme et sa fille, sa maîtresse, un capitaine, quelques officiers, un prédicateur, un fameux détective fait prisonnier et condamné à une cale infâme, et son garde du corps. Et dès le départ du bateau, les premiers phénomènes étranges ont lieu : un lépreux qui brûle, puis une marque sur la voile qui serait celle d’un terrible démon, le fameux « Old Tom ». Sans compter que chaque passager semble détenir un secret…

    Je n’irai pas plus loin pour ne pas divulgâcher l’ensemble, mais je pense que tout lecteur friand de ce genre de récit passera un bon moment. La lecture est plus aisée que « « Les sept morts d’Evelyn Hardcastle », et bien que les deux ouvrages n’aient rien à voir, on y retrouve le même goût du mystère et la volonté de l’auteur de nous concocter une solide intrigue. Le style reste à mon sens le point faible, je ne suis jamais complètement immergé dans l’époque ou dans l’ambiance, même si les efforts sont louables et que par brefs instants cela fonctionne. Simplement, l’intérêt de l’intrigue et le suspens bien distillé m’ont tout de même poussé à continuer à tourner les pages et à aller au bout de ce récit, où les faux-semblants sont légions et les rebondissements incessants.

    Au final, un bon moment de lecture, je ne regrette pas ce livre trouvé au pied du sapin le jour de Noël !