Valentin est sourd. Ses parents décident d'apprendre à toute la famille la langue des signes des lapins. Dès les premiers mots appris, le monde s'ouvre à Valentin. Maintenant qu'il peut communiquer, Valentin gagne en autonomie, peut se faire des amis et mener une enquête. Cet album est une belle histoire qui montre qu'il ne faut souvent pas grand chose pour améliorer le quotidien d'une personne différente. Les dessins simples fonctionnent bien. Les encadrés sur la langue des signes sont une bonne idée. Celle-ci n'étant pas universelle, j'aurai aimé savoir de laquelle il s'agit car si je n'ai pas reconnu les bases que j'ai apprises. L'histoire suit une semaine de la vie de la famille avec chaque jour un schéma similaire. Ce n'est pas la construction de récit qui permet de plaire à tous les publics mais c'est un choix adapté aux plus jeunes qui sont la cible de l'album. C'est une histoire sympathique qui permet une ouverture à la différence et au handicap. Il sensibilise à l'importance d'intégrer tout le monde.
Superbe conte pour petits et grands !
Émeline, personnage éponyme, est une héroïne au cœur pur et d'une générosité sans borne, qui touchera forcément le lecteur.
Elle démontre que les enfants peuvent aussi parfois sauver les adultes.
Un conte qui se déroule en outre au Moyen Age, dans des contrées fantastiques qui font rêver et voyager.
Un bien bel album jeunesse !
Il n'y a pas encore de discussion sur cet auteur
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
