"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Vraiment juste pour le plaisir de le redire : lisez Vorkosigan. La reine rouge est le dernier tome de la saga. La reine rouge est une histoire située sur Sergyar et pour boucler la boucle, on retrouve au premier plan Cordelia. C’est le tome pour avoir les informations sur le devenir de chacun. On est avec une petite histoire pour quitter tout le monde en douceur. C’est nostalgique, ça donne des clés pour comprendre différemment des événements passés, c’est drôle, tous les élément sont réunis pour fermer la saga doucement. Je n’en dirai rien de plus pour ne rien gâcher ni de ce tome ni de la saga à part que c’est un très joli moyen de clôturer une longue saga. Bon d’accord, encore un point : il y a une belle passion caillou avec l’envie d’être paléontologue qui m’a bien mis en joie. Il en faut peu « oui mon métier dans ma saga préférée ».
Toujours parler de Vorkosigan, pour chaque tome c’est primordial.
Miles débarque sur une planète ou la société est basée sur la cryogénie. C’est parti pour un roman où les jeux de pouvoirs économiques et politiques sont poussés à l’extrême. Qui dit cryogénie, dit une vision du deuil qui sort de l’ordinaire. Entre les aspects éthiques, économiques et politiques, les réflexions vont bon train et comme on est avec Miles le tout est amené avec une bonne dose de catastrophes et d’humour. J’ai adoré ce tome qui est fun tout en abordant beaucoup de questionnements. Sans rien dire sur la fin, je dois quand même crier qu’elle tient du génie. Un excellent tome pour un saga génialissime.
Juste pour le plaisir de remettre encore en avant la saga Vorkosigan. Dans Ekaterin, Miles est de retour sur Barrayar et mets en place tout un plan pour déclarer sa flamme. Comme d’habitude, les plans alambiqués ne vont pas se dérouler comme prévu. Et niveau imprévu, on dirait bien que tous les proches, tous les Vorkosigan et tous leurs ennemis se sont ligués contre Miles. La farce de ce crétin d’Ivan va mal tourner. Mark a un projet scientifique déroutant qui va amplifier le bazar général. La mémoire des uns et les espiègleries des autres ne faciliteront pas non plus la tache. Et comme on reste sur Barrayar, les intrigues politiques ne seront pas en reste. Il y a même un personnage trans qui permet une réflexion sur leur société vraiment captivante. Dans ce tome, entre romance et ragots, il y a a priori tout pour me déplaire et pourtant c’était une réussite complète comme quoi la patte derrière l’histoire est primordiale.
- un tome de gros tournant pour Miles et Illyan
- une réussite du point de vue de l’ascenseur émotionnel : on passe par tous les sentiments
- du grand Miles, ça fait du bien de le retrouver dans toutes ses manigances et son humour caustique
- de bons questionnements autour de ce qui fait notre vie et sur comment continuer quand tout semble s’effondrer
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