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Mikelangelo, artiste peintre, ayant percé dans le milieu grâce à ses talents de faussaire, achève une vraie œuvre personnelle dans le ventre de paris à 60m sous terre dans une chapelle tout confort qu’il a aménagé et agrémenté d’une fresque monumentale dont la peinture d’un ciel bleu de miel est sa préoccupation actuelle. Il cohabite sous terre avec les rats, dont Jozef qu’il a adopté et qu’il promène sur l’épaule. Sa vie bascule lorsqu’il rencontre cinq jeunes femmes et un jeune garçon errant dans Paris à la recherche d’un abri et de quoi manger en s’efforçant d’échapper aux « faiseurs-de- putes » et dont l’objectif est d’atteindre « Youké ». L’auteur, avec un grand talent de conteur nous embarque dans une aventure humanitaire pleine de charme et d’imprévu en y associant les résidents permanents du sous sol, les congénères de Jozef. Une belle découverte bourrée d’humanité, de fantaisie et d’une surprise finale.
Un roman dense, originale et passionnant sur les dessous de Paris, des caves, des égouts, des rats, des catacombes, des rats qui parlent de la vie urbaine et qui représente aussi un abri, un confin d’humanité. L'intrigue va réunir un peinte-faussaire repenti qui vit dans les souterrains de Paris depuis vingt ans et des adolescents en fuite (un garçon et cinq filles) migrants venus de Syrie, d'Afrique et d'Asie poursuivis par des « faiseurs de putes ». Ils se trouvent réunis dans une vaste chapelle souterraine où Mikelangelo tente d'apprivoiser les jeunes et de leur donner les moyens de rejoindre leur destination rêvée, Youké. Les autres protagonistes de ce récit sont…les rats. Le récit est fluide poignant et très agréable qui m’a donné l’impression tout au long de la lecture d’une modernisation à l’aune du XIXeme siècle du roman de Victor Hugo « Notre Dame ».
Pour moi je trouve le récit pas très prenant , j ai lu la vie de Berthe Morisot il était super bien , celui la il l ne ma pas amener avec la même ardeur , et le plaisir de lire c est mon point de vue de lecteurs donc je vais dire que j ai était déçue de se livre ........c est très rare quand un livre ma passionne pas dommage
La tristesse des femmes en mousseline de Jean-Daniel Baltassat m'a été envoyé par Calmann-Lévy via net galley, et je les en remercie chaleureusement.
1945, à Paris.
Paul Valéry, vieux solitaire indifférent à la fureur des temps, doit en admettre l’horreur.
Cherchant la lumière, il rouvre le carnet hérité dans sa jeunesse de Berthe Morisot, peintre du silence et de l’absolu.
Dans ses mots, il affronte l’exigence vitale de beauté qui fut sa quête. Revient alors le souffle de la vie, malgré tout.
La tristesse des femmes en mousseline est un roman qui m'a fait découvrir Berthe Morisot, artiste peintre française dont je n'avais jamais entendu parler ! J'ai apprécié cette découverte et je suis d'ailleurs aller voir avant d'ouvrir ce roman ce qu'elle avait peint.
J'ai donc découvert cette femme et j'ai apprécié cette plongée dans un autre temps.
Nous avons ici un très joli roman plein de poésie, très joliment écrit. J'ai été charmée par La tristesse des femmes en mousseline.
Ma note : 4 étoiles
Encore une bonne surprise de cette rentrée littéraire 2018 :)
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