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Hafez Khiyavi

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Avis sur cet auteur (1)

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    Couverture du livre « Je puais le sang d'âne » de Hafez Khiyavi aux éditions Serge Safran

    Colette LORBAT sur Je puais le sang d'âne de Hafez Khiyavi

    Je me suis plu dans Le chameau ivre d’Alma Rivière, alors j’ai voulu rencontrer l’Iran de Hafez Khiyavi où j'y retrouve certains thèmes reviennent.
    En treize histoires courtes, Hafez Khiyavi me transporte dans l’Iran actuel. Ces nouvelles racontent la vie d’homme et de femmes, pas héros pour...
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    Je me suis plu dans Le chameau ivre d’Alma Rivière, alors j’ai voulu rencontrer l’Iran de Hafez Khiyavi où j'y retrouve certains thèmes reviennent.
    En treize histoires courtes, Hafez Khiyavi me transporte dans l’Iran actuel. Ces nouvelles racontent la vie d’homme et de femmes, pas héros pour un sou, qui se débattent entre modernité et tradition
    La première nouvelle fait référence à son précédent livre « Une cerise pour couper le jeûne » (que j’aimerais découvrir) où une jeune fille vient retrouver, sans être voilée et à vélo, son amoureux qui se cache de la police
    Les personnages sont humains, très humains avec leurs faiblesse, rouerie, bassesse, courage, humour, violence. Ils sont coincés entre la tradition et la modernité, regrette l’occidentalisation tout en la rejetant, la religion «Sa culotte, à Sheylan, c’est Satan qui la lui enlève » ; ce jeune garçon s’interroge sur ce que voit et ne voit pas Dieu. « Ma mère, elle dit que Tu es partout » «Rêver que Sheylan est là aussi. Non, Seigneur ! Non ! Ça tu ne l’as pas entendu. Je parle juste pour moi. Ma mère, elle dit que même quand on parle à l’intérieur de nous, Dieu, Il l’entend. Ce n’est pas bien, Dieu ! Ce serait mieux quand même si Tu n’entendais pas ce que les gens ils se disent à eux-mêmes. En tout cas pas tout. » Les mâles ne sont pas des surhommes et, quelque fois leur couardise fait rire.
    Chaque nouvelle brosse une facette de l’Iran d’aujourd’hui dont l’auteur en brocarde l’hypocrisie. J »ai rencontré l’armée « Des pêches », l’entraide « Ibrahim », l’amour « Je puais le sang de l’âne ». « L’âme de M’sieur Mansour » oscille entre légèreté et gravité.
    Des histoires à raconter écrites aux petits oignons, bien traduites par Stéphane Dudoignon. Certaines sont jubilatoires, d’autres ironiques, tendres, violentes. Hafez Khiyavi montre beaucoup de tendresse pour ses personnages
    « Je puais le sang d’âne » ouvre une fenêtre sur l’Iran moderne et Hafez Khiyavi, un auteur à découvrir.

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