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Deuxième tome de la trilogie relatant la vie de Sigmar Heldenhammer.
Dans cet opus, nous retrouvons le fondateur de l'Empire quelques années après le premier tome et la fuite de Gerréon. L'Empire est né et son Empereur en la personne de Sigmar se doit de veiller aux valeurs de sa puissance. Et vous vous en doutez, l'Empire est menacé, trahison, tribus du nord et invasion du chaos... Vous y trouverez énormément de batailles, de sang et d'actes héroïques.
La quantité de personnages dans ce roman est assez importante mais pas une seule fois vous vous perdrez dans les dialogues ou dans la compréhension des rivalités et des enjeux de chacun.
Le roman est bien réalisé, malgré le fait que l'histoire n'est qu'une succession de combats. L'écriture est facile à lire et l'auteur a réussi à éviter avec brio les lourdeurs que vous aurez l'habitude de retrouver dans les romans de la gamme Warhammer. C'est peut-être ce qui lui aura permis de remporter le David Gemmell Award 2010. Mais des deux romans lus de cette trilogie, j'ai toujours une préférence pour le premier.
J'ai été un poil déçu... J'ai trouvé que sa relation avec Ravenna n'était pas assez évoquée pour démontrer l'amour puissant qu'ils avaient l'un envers l'autre... Les batailles, quant à elles, sont un bon paquet, épiques et héroïques... normal, c'est Sigmar Heldenhammer... des coups de marteau, en veux-tu, en voilà...
Mais il est vrai que certains passages sont vraiment excellents... Dans l'ensemble, il est facile à lire malgré les fautes (beaucoup, des mots qui manquent, des mots qui n'ont rien à y faire, des fautes d'orthographes et non de frappe...).
Enfin, la dernière page est pleine d'émotions, lorsque des milliers de guerriers et les rois des tribus s'agenouillent devant Sigmar...
J'attends les prochaines sagas et surtout la suite qui verra Azazel (le traître) venir envahir l'Empire de Sigmar...
Voilà le dernier né de Graham Mc Neil, auteur prolifique de fantasy. Ce roman traite des hauts-elfes de l'île d'Ulthuan et sera en deux parties, donc c'est un diptyque (deux parties)... On avait les humains, les druchii (elfes noirs), les elfes des bois et maintenant les hauts-elfes, à quand les nains et les halfelings... Mais je m'égare et je critique facilement. Ce roman est un recueil sur la vie des hauts elfes, idéal si vous voulez jouer un elfe ou créer des aventures sur Ulthuan. Vous y trouverez une bonne analyse de la façon de vivre, de penser, de comploter des elfes qui grâce à leur magie retiennent les forces du chaos d'envahir le monde... Mais à part les complots, vous aurez de l'épique et de l'héroïsme comme on l'aime. Dans cette première partie, on découvre un elfe échoué qui ne se souvient de rien... Il est recueilli par un magicien puissant et sa fille, et son trou de mémoire est une énigme pour ce mage qui l'emmènera à Teclis, le mage elfe le plus puissant. Dans le même temps , le chef d'une garnison basée dans un fort qui protège l'île se fait assassiner par un druchi. Enfin, une invasion de l'île par les druchii prend place et des combats sanglants se déroulent sans grand espoir pour les hauts-elfes...
L'histoire est assez intéressante pour cette première partie et je suppose que beaucoup d'éléments sont mis en place pour un final qui je l'espère sera fantastique dans la deuxième partie. Les personnages sont bien décrits et la société elfe nous paraît plus réaliste après la lecture de ce roman. Les hauts-elfes considérés comme des gardiens de la paix et du savoir, des êtres doués de talents inimaginables, descendent de leur pied d'estale dans les complots et la haine que fait ressortir ce roman... j'attends la suite avec impatience...
Le premier roman traitant des Elfes du Vieux Monde, à Athel Loren. L'histoire du chevalier, Léovric, qui est retenu "prisonnier" par les Elfes, qui n'est pas aimé, puis qui les aide, et qui les sauve un peu... est assez... bateau, bof, nunuche (entourez le terme qui vous convient). Le seul attrait de ce roman est le background. Très utile au meneur et aux joueurs incarnant des elfes, sinon, c'est un roman sans plus, un peu fade même... C'est dommage, parce qu'on a l'impression de passer à côté de quelque chose qui aurait pu en faire un bon roman...
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