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Geraldine Jeffroy

Geraldine Jeffroy

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Avis sur cet auteur (18)

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    Couverture du livre « Un été à l'Islette » de Geraldine Jeffroy aux éditions Arlea

    Laurelyn13 sur Un été à l'Islette de Geraldine Jeffroy

    Un petit roman charmant, sensible, idéal pour passer un bon moment de lecture.
    Une histoire d'artistes, un ouvrage romanesque de la vie de Camille Claudel, entourée de Rodin et Debussy.
    Une histoire très agréable à lire avec qq références artistiques, le récit est bien mené entre lettres...
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    Un petit roman charmant, sensible, idéal pour passer un bon moment de lecture.
    Une histoire d'artistes, un ouvrage romanesque de la vie de Camille Claudel, entourée de Rodin et Debussy.
    Une histoire très agréable à lire avec qq références artistiques, le récit est bien mené entre lettres écrites et histoire poétique.
    Petit roman à lire pour passer un joli moment de lecture.

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    Couverture du livre « Imaginer Calder » de Geraldine Jeffroy aux éditions Arlea

    Pascal TOURRES sur Imaginer Calder de Geraldine Jeffroy

    Dans ce petit opus Géraldine Jeffroy revient sur certains lieux de son enfance qui sont aussi ceux où l’américain Calder a porté son dévolu pour une grande partie de sa vie en France. Elle va ainsi sur les différents lieux où Clader a vécu et créé et elle montre un homme attachant (bien plus que...
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    Dans ce petit opus Géraldine Jeffroy revient sur certains lieux de son enfance qui sont aussi ceux où l’américain Calder a porté son dévolu pour une grande partie de sa vie en France. Elle va ainsi sur les différents lieux où Clader a vécu et créé et elle montre un homme attachant (bien plus que ce que peut laisser penser parfois certaines de ses œuvres métalliques gigantesques).

    Elle nous présente un homme qui fabriquait tout (meubles, aménagements, …) en réutilisant les matétiaux, qui était avenant, accueillant, aimant prendre le temps en buvant et discutant avec ses amis et hôtes de passage, apprécié par ceux avec qui il travaillait (cf. notamment l’atelier de fonderie), …

    Elle a mis de la chair, du sensible, sur l’homme et le créateur connu pour ses « mobiles » et « stabiles ».


    Merci à Lecteurs.com et aux éditions Arléa pour la communication de cet intéressant opus permettant de mieux connaitre Calder


    Citations :
    « Imaginer, c’est hausser le réel d’un ton. » Gaston Bachelard p 9 citation mise en épigraphe

    « Calder ne fait pas dans le figuratif, tout au plus invente il des abstractions réalistes. D'ailleurs les mobiles ne sont pas dessinés à l'avance. … » p 28

    En lien avec la « gouacherie » (atelier où il allait chaque matin retrouver papier canson, encre et gouache) « … sans surprise sa palette est restreinte : jaune bleu rouge blanc noir. Des couleurs pures et éclatantes parce que « les couleurs secondaires et intermédiaires n'apportent que confusion et désordre ». Avec l'eau comme dynamique, Calder les fait s'interpénétrer irradiant la feuille se délectant de la flaque, de l'éclaboussure de la tâche. … » p 43

    Concernant une de ses œuvres au Canada que les canadiens appellent « l’homme », Calder ne s’oppose pas à cette appellation mais « pour lui le stabile restera « Trois Disques »car il ne projette dans cette œuvre comme dans aucune autre d’ailleurs, rien de symbolique. A son propos il déclare : « je n’ai voulu exprimer aucune idée, aucune intention. J’ai seulement essayé de créer quelque chose qui fut intéressant à regarder. » » p 68

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    Couverture du livre « Imaginer Calder » de Geraldine Jeffroy aux éditions Arlea

    Dominique Sudre sur Imaginer Calder de Geraldine Jeffroy

    Lors de sa sortie, j’avais été conquise par Un été à l’Islette, qui m’avait emportée dans les pas de la petite châtelaine de Camille Claudel et les amours de l’artiste avec Rodin.
    Je découvre à présent avec grand plaisir les années que l’inoubliable Calder a passé en Touraine à partir de...
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    Lors de sa sortie, j’avais été conquise par Un été à l’Islette, qui m’avait emportée dans les pas de la petite châtelaine de Camille Claudel et les amours de l’artiste avec Rodin.
    Je découvre à présent avec grand plaisir les années que l’inoubliable Calder a passé en Touraine à partir de 1953.
    Installé dans la maison François 1er de Saché, il passera plus de vingt ans dans la région.
    A partir des lieux, des témoignages, en allant nous faire découvrir l’atelier de l’artiste unique en son genre, elle nous le fait découvrir et apprécier comme si nous l’avions connu nous aussi.

    Calder a aimé cette région de France, et nous aimons l’y accompagner le temps de quelques pages.
    Je connaissais les mobiles et surtout les stabiles de ce sculpteur d’un genre tout à fait nouveau, bien dans son temps, j’ai aussi découvert sa façon de travailler, d’être, de vivre.
    Si l’autrice vit en Touraine et connaît bien les lieux et ceux qui ont rencontré Calder, elle m’a donné l’impression d’être allée avec elle à leur rencontre tant la conversation, la rencontre, me paraissait intime et unique. Comme si je l’avais accompagnée partout, m’émerveillant avec elle de ce que je découvrais de l’artiste.

    Calder est né en 1898 en Pennsylvanie. Après des expositions et un premier séjour en France, il y revient en 1953. Calder décède en 1976.
    Nous avons presque tous, parisiens ou banlieusards d’une vie ou d’un temps, une vision du stabile l’Araignée rouge installé à la défense en 1977. La plus grande œuvre de Calder commandée par la France.

    Une lecture qui fait du bien, un court récit-roman qui se lit en ayant l’impression d’avoir côtoyé l’artiste et d’avoir marché dans les pas de l’autrice.
    La beauté, l’art, il n’y a que ça pour rasséréner le lecteur en ce moment.

    https://domiclire.wordpress.com/2024/06/24/imaginer-calder-geraldine-jeffroy/

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    Couverture du livre « Un été à l'Islette » de Geraldine Jeffroy aux éditions Arlea

    F.Lefever sur Un été à l'Islette de Geraldine Jeffroy

    Le château de l' Islette est un château privé ouvert au public depuis 2010. Il est à quelques km d' Azay Le Rideau. Nous avons eu la chance de visiter ce château, il y a une dizaine d'années, et j'en garde un souvenir plein d'émotions. Il est petit, bordé d'un grand parc et d'un étang qui lui...
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    Le château de l' Islette est un château privé ouvert au public depuis 2010. Il est à quelques km d' Azay Le Rideau. Nous avons eu la chance de visiter ce château, il y a une dizaine d'années, et j'en garde un souvenir plein d'émotions. Il est petit, bordé d'un grand parc et d'un étang qui lui donnent un côté "maison de campagne". Il est une véritable invitation à la flânerie, à la rêverie, à la méditation. Lors de notre visite, dès la première pièce, j'ai aperçu une araignée de taille gigantesque, blottie dans un coin, avec l'air de dire "ne me dérangez pas". Vous imaginez qu'il n'était pas question de la déranger. Pour moi cet insecte donnait le tempo de l'endroit, c'est à dire, invitait au silence, au calme, chuuuuut, cet endroit est habité.
    Le château est le décor de l'histoire, le premier personnage. Puis viennent Eugénie ; la preceptrice, Marguerite ; l'enfant, Camille Claudel ; l'artiste et Mme Courcelle propriétaire des lieux. Ces 4 présences féminines vont faire vivre l' Islette, vont illuminer les lieux, chacune à leur manière. Camille y vivra ses amours tumultueuses avec Rodin, y souffrira, mais aussi y créera la "Valse", actuellement au musée Rodin. Une nouvelle façon de nous faire comprendre que la douleur est créatrice et que l'art devient exutoire.
    De tous ces événements de cet été à Islette, Debussy en sera le témoin, sera l'ami, le confident.
    C'est un véritable enchantement, un bond dans le temps (nous sommes en 1892), nous sommes dans le romantisme et cela fait du bien.
    Allez y, foncez et si vous passez près de ce château n'en manquez pas la visite.

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