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Etienne Schréder

Etienne Schréder
Né à Bruxelles en 1950, Etienne Schréder est venu à la bande dessinée après plusieurs détours. Etudiant en Droit, il bifurque vers la Criminologie et travaille en milieu pénitentiaire durant cinq années. Le domaine social restera le cadre de ses activités professionnelles mais, en 1989, ses premi... Voir plus
Né à Bruxelles en 1950, Etienne Schréder est venu à la bande dessinée après plusieurs détours. Etudiant en Droit, il bifurque vers la Criminologie et travaille en milieu pénitentiaire durant cinq années. Le domaine social restera le cadre de ses activités professionnelles mais, en 1989, ses premiers récits en noir et blanc paraissent dans le défunt magazine BD (à suivre). En 1990, Etienne Schréder devient dessinateur à part entière. Il participe à l'élaboration graphique du film « Taxandria » de Raoul Servais, publie plusieurs albums chez divers éditeurs dont « Le Secret de Coïmbra » paru chez Arboris, « Loups » chez le même éditeur en 1995, « La Couronne en papier doré » chez Casterman en 1998, « Les Architectes du temps » chez Ebel ou « Le Crocodile enchaîné chez Audoin. Il collabore également avec Alain Goffin, François Schuiten, Bernard Yslaire, Ted Benoit... Il signe pour Carrément BD « Le vol d'Icare » et le scénario de « Ecce Homo » paraissant simultanément avec « Mary ».

Avis sur cet auteur (7)

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    Couverture du livre « Avant Blake et Mortimer Tome 2 : la flèche ardente » de Jean Van Hamme et Christian Cailleaux et Etienne Schréder aux éditions Blake Et Mortimer

    Romain Ambrosini sur Avant Blake et Mortimer Tome 2 : la flèche ardente de Jean Van Hamme - Christian Cailleaux - Etienne Schréder

    Tout pareil que Pascal.
    L'album est dans la suite (et la continuité directe) du rayon U. L'histoire se tient et respecte le rythme soutenu du précédent.
    Mon adhésion au premier était limitée. Je trouve les mêmes défauts au second. Cohérent en tout cas.

    Tout pareil que Pascal.
    L'album est dans la suite (et la continuité directe) du rayon U. L'histoire se tient et respecte le rythme soutenu du précédent.
    Mon adhésion au premier était limitée. Je trouve les mêmes défauts au second. Cohérent en tout cas.

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    Couverture du livre « Avant Blake et Mortimer Tome 2 : la flèche ardente » de Jean Van Hamme et Christian Cailleaux et Etienne Schréder aux éditions Blake Et Mortimer

    Pascal TOURRES sur Avant Blake et Mortimer Tome 2 : la flèche ardente de Jean Van Hamme - Christian Cailleaux - Etienne Schréder

    La suite du Rayon "U" ... avec un Van Hamme toujours aussi efficace pour rebondir en proposant un deuxième volet à la création de Jacobs il y a tout pile ... 80 ans !

    Et, accompagné de Christian Caillaux et Etienne Schreder, ils nous livrent ue suite qui se tient et nous remet dans cet...
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    La suite du Rayon "U" ... avec un Van Hamme toujours aussi efficace pour rebondir en proposant un deuxième volet à la création de Jacobs il y a tout pile ... 80 ans !

    Et, accompagné de Christian Caillaux et Etienne Schreder, ils nous livrent ue suite qui se tient et nous remet dans cet univers foisonnant de Jacobs.

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    Couverture du livre « Blake et Mortimer Tome 27 : le cri du moloch » de Jean Dufaux et Christian Cailleaux et Etienne Schréder aux éditions Blake Et Mortimer

    Dominique Jouanne sur Blake et Mortimer Tome 27 : le cri du moloch de Jean Dufaux - Christian Cailleaux - Etienne Schréder

    Dans l’album « L’onde de Septimus », on aurait pu penser que Black et Mortimer avaient su écarter le danger planant sur la Terre en détruisant Orpheus mais rebondissement cruel, un deuxième engin du même type sévit toujours dans un endroit inconnu.

    L’Alien, dit le Moloch, qui le pilote sait...
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    Dans l’album « L’onde de Septimus », on aurait pu penser que Black et Mortimer avaient su écarter le danger planant sur la Terre en détruisant Orpheus mais rebondissement cruel, un deuxième engin du même type sévit toujours dans un endroit inconnu.

    L’Alien, dit le Moloch, qui le pilote sait se fondre dans les corps humains et laisse d’étranges messages sur les murs en forme de hiéroglyphes.

    Mortimer va de nouveau avoir besoin d’Olrik qui végète dans une clinique psychiatrique à répéter en boucle avec les autres victimes de Septimus « Asile ! Asile ». Pourtant Mortimer saura sortir le colonel Olrik de cet état et, face au danger planétaire menaçant, d’ennemis, ils vont devenir alliés…

    « A Dieu vat ! »

    Les illustrations sont de bonnes factures mais très loin d’être aussi confondantes avec les dessins de Jacobs comme elles le sont dans l’album ‘L’onde Septimus’.
    Toutefois on se régale des images de Londres avec ses docks et ses voitures années 50, les trench-coats et uniformes anglais, les intérieurs cosys où coulent thé ou Glenlivet, mais on est très loin du détail cher à Jacobs.
    On ne peut se méprendre sur le fait qu’un nouvel artiste, au trait de crayon plus grossier et moins soucieux du détail, vient de prendre la main et donc, hormis le scénario, je ne me suis pas sentie pleinement emportée par la magie des dessins dont on a l’habitude et qui ont une importance primordiale dans cette série d'aventures.

    Toutefois le récit ne démérite pas. Il se tient bien dans la veine fantastique de son créateur.

    J’avoue avoir été un peu triste en refermant le livre par le manque d’application à la conformité graphique d’un héritage certes exigeant.

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    Couverture du livre « Blake et Mortimer Tome 22 : l'onde Septimus » de Jean Dufaux et Antoine Aubin et Etienne Schréder aux éditions Blake Et Mortimer

    Dominique Jouanne sur Blake et Mortimer Tome 22 : l'onde Septimus de Jean Dufaux - Antoine Aubin - Etienne Schréder

    « — Good heavens ! Mais, c’est... !!?
    — Le disque que portait le professeur Septimus au front et qui lui permettait de dominer la volonté de ses interlocuteurs.

    East end. La nuit tombe sur Limehouse. Près des eaux sombres de la Tamise, chez Miss Lily Sing, le silence est d’or. »

    Le...
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    « — Good heavens ! Mais, c’est... !!?
    — Le disque que portait le professeur Septimus au front et qui lui permettait de dominer la volonté de ses interlocuteurs.

    East end. La nuit tombe sur Limehouse. Près des eaux sombres de la Tamise, chez Miss Lily Sing, le silence est d’or. »

    Le colonel Olrik choisi par Septimus comme Guinea Pig idéal… Qu’est-il devenu ?

    Dans les rues de Londres, surgit la réplique en masse de dizaines de professeur Septimus en costume, chapeau melon et parapluie ouvert noirs marmonnant en chœur sous une pluie battante « Es-tu là Guinea Pig ? Réponds… »

    « Mais celui qui fut la Marque Jaune, cette fois résistera. »

    Vraiment ?

    Sous les lignes désaffectées de King’s Cross se dresse « un engin qui échappe à toute classification terrestre. On dirait un vaisseau spatial couché sur le flanc… ». Un scaphandre dans une colonne de verre… On l’entend dire « Asile !! Asile !! »

    Damned ! Mais qu’est-ce ?

    La folie se déverse sur Londres comme un virus propagateur… La planète est en danger.

    Onde Méga et télécéphaloscope donneront du fil à retordre à Mortimer dans ses recherches quand Blake prendra une décision radicale concernant Orpheus.

    Cette BD nous plonge dans une poursuite fantastique prenante dans la pure veine imaginative de Jacobs.

    Les illustrations accaparent l’œil tant les détails sont fignolés avec une mise en mouvement qui donnent un réalisme adapté à la fiction. Le rendu et l’ambiance sont à la hauteur des dessins de Jacobs à tel point que le dédoublement virtuel dans le texte fait écho côté graphistes…

    De nombreux rappels nous immergent dans l’œuvre de Jacobs comme des petits cailloux placés dans l’espace (Le mystère de la grande pyramide, La Marque Jaune, L’affaire du collier, Le secret de l’Espadon, etc.) avec nombre de personnages qui nous reviennent en écho ainsi le méchant Colonnel Olrik, le diabolique professeur Jonathan Septimus, Lilly Sing, le banquier Oscar Balley, le professeur Evangely, le lieutenant Mc Farlane, Lady Rowana, le détective Clover, Mister Kim, le major Blanks, le fidèle Nasir, etc.)

    Une belle réussite !

    Félicitations au travail remarquable des dessinateurs Antoine Aubin et Etienne Schréder, à la coloriste Laurence Croix et au scénariste Jean Dufaux qui ont su avec talent restituer l’univers d’Edgard P. Jacobs au plus près et ainsi le saluer par un bel hommage.

    « —Orpheus était programmé pour nous envahir, n’est-ce-pas ?
    — Je le crois et je n’ai pu m’empêcher de songer à notre cher Herbert George Wells et à sa « Guerre des mondes. »

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