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Ce roman est une véritable bombe atomique prête à exploser. Avant d'entamer ce livre, je tenais à préciser, que Denis Zott possède une double personnalité un écrivain talentueux, et un véritable psychopathe. N'oubliez pas de prendre un rendez vous chez votre psychiatre, l'auteur n'a aucune empathie pour ses lecteurs et jubile à torturer leurs neurones. l'histoire se déroule ,dans le Tarn ma région d'adoption. Un enlèvement qui se passe mal, rien ne se déroule comme prévu. Nous faisons la connaissance de la d'Elise, surnommée la Dame blanche.
La famille Renard détestable, au plus haut point une envie de les massacrer dés le début, aucune empathie pour les gens qui gravitent autour d'eux. le pauvre Césaire, qui sert de pushing ball, un souffre douleur, homme à tout faire, je me suis projetée dans l'Amérique ségrégationniste, comment peut-on traité un tel homme. Il est considéré comme un chien, une utopie .,aucune personnalité, un lavage de cerveau de ces malades. Arrivera t-il à à trouver le bonheur?
Elise, la dame blanche, arrive à s'échapper, tout le monde est à sa recherche. Mais qui est-elle vraiment, trop de secrets enfouis qui refont surface.
Une histoire à multiples rebondissements, un rythme à cent à l'heure, un suspens intense, pas le temps de s'ennuyer, essayer de prendre une bouffée d'air pour ne pas suffoquer.
Les indices s'imbriquent, tel un puzzle, au fur et à mesure de la lecture.
Une intrigue qui nous prend aux tripes , un véritable uppercut. L'auteur a l'art et la maniére de tenir ses lecteurs en haleine du début jusqu'au final, que j'étais loin de m'imaginer, une fin digne du roman .Durant la lecture mes sentiments ont divergé passant de la haine à la colère, à la compassion, et à la peur.
Certaines scènes sont assez violentes.
Une écrite fluide percutante, visuelle. La lecture est totalement addictive; Un univers à l'atmosphère mystérieuse et sombre. Un livre que je n'ai pas pu lâcher, malgré les 443 pages, il fallait absolument que je découvre le pourquoi du comment.
Une vraie pépite à déguster sans modération.
La Dame blanche. Fragile, fugitive et menacée. À moins qu'elle ne cache son jeu. Et que la vraie menace, ce ne soit elle. Elle ne devait jamais sortir. Dehors est un monde hostile, un danger permanent. Mais nul ne sait comment elle peut réagir. Un étrange manoir dans l'Yonne qui abrite un terrible secret. Une recluse blonde au visage de geisha dont l'existence n'est connue que d'une poignée de personnes.
Cela commence par un enlèvement, j'ai bien aimé ce début, qui nous met directement dans l'ambiance, après le récit va se centrer sur cette dame blanche, qui est-elle ? Qu'est qu'elle fait ? Pourquoi et comment ?
Clairement, il m'a manqué quelque chose dans cette histoire, tout n'est pas négatif, j'ai apprécié le mystère qui entoure ce personnage, mais l'intrigue s'étire en longueur et franchement cela m'a perdue.
L'écriture de l'auteur est assez fluide, les chapitres courts qui rendent la lecture vraiment agréable, mais le problème à mon humble avis, c'est que l'action a eu du mal à tenir sur 443 pages.
Peut-être si le livre avait été plus court, cela aurait mieux passer, après le côté brouillon as été compliquée également pour moi.
Par contre ce que j'ai aimé, c'est la thématique de l'histoire de Elise, mais je trouve, ça arrive vraiment tard dans le récit. J'ai trouvé cela dommage.
Après, j'aime beaucoup les livres complexes, mais il faut que ça tienne la route, qu'il est un déroulement plausible, et je n'ai pas trouvé cela.
Donc, pour moi, cela reste une déception, malheureusement, on ne peut pas tout aimer, après je regarderais ce qu'il a fait d'autres car je ne me fais jamais une opinion sur un seul livre.
Après, je suis sûr que ce livre rencontrera son public, il y a une thématique intéressante et également la course-poursuite que j'aime énormément, mais là, je n'ai pas adhéré.
Une ambiance de western rural pour ce polar de Denis Zott. Lorsque ça a l'air de partir dans tous les sens, et que de fait, on se demande qui fait quoi et pourquoi, l'auteur distille quelques informations pour nous aiguiller et nous garder en alerte ? Et ça fonctionne parfaitement. Rythme enlevé voire échevelé par moments, décors tarnais, personnages hauts en couleurs qui ont tous une part sombre plus ou moins grande. C'est cela, allié à une intrigue emberlificotée, pour le meilleur et qui garde le mystère jusqu'au final, qui donne toute la saveur à ce roman noir. Parce qu'ils sont grâtinés les protagonistes : d'abord les Renard, trois rustres qui trafiquent et vivent reclus avec leur mère Germaine, autoritaire qui tient sous sa coupe Césaire, à peine mieux traité qu'un esclave, humilié, battu, rossé. Puis Césaire, justement qui découvre des choses et ne sait quoi en faire. Et le capitaine Roll, le gendarme et son oncle, le maire tout puissant. Voilà pour les locaux, auxquels s'ajouteront la mystérieuse dame blanche, ses protecteurs ou prétendus tels et ses kidnappeurs. Autant de monde à Puech Begoù, ne peut que se rencontrer pour le pire. Et la campagne tarnaise de s'animer drôlement et de rententir de bruits inédits.
J'ai passé un excellent moment dans cette intrigue dense et rapide. L'envie et le plaisir de tourner les pages sont présents dès début à la fin, même que j'aurais bien pris un peu de temps supplémentaire. Noir, très noir, il reste tout de même un peu d'espoir car certains personnages ont, certes, des côtés sombres, mais d'autres lumineux qui éclairent l'histoire de Denis Zott.
Une femme au visage de geisha est enlevée dans un manoir près d'Auxerre mais les kidnappeurs ont un accident à Puech Begou, un village du Tarn, à quelques kilomètres du point de livraison. Commence alors une chasse à la femme haletante; elle est traquée par des hommes venus du manoir, par la gendarmerie, par le maire de la commune dont le petit fils a été blessé dans l'accident. Elle trouve refuge dans la ferme des Renard, une zone de non-droit où règnent la mère Renard, une harpie et ses trois fils violents. Elle est sauvée par Césaire, 40 ans, le domestique-esclave, noir, surnommé "le chien". Ce village et ses habitants recèlent de nombreux secrets que la présence de la Dame blanche va faire exploser.
L'auteur fait référence, par son personnage de Dame blanche, à cette légende glaçante d'une femme, tout de blanc vêtue, qui se trouve la nuit sur le bord d'une route de campagne; prise en stop, elle crie pour éviter un accident et se volatilise. On retrouve tous les éléments de cette croyance dans le roman mais l'auteur s'en éloigne rapidement.
L'auteur nous croque une galerie de personnages tous plus antipathiques les uns que les autres parmi lesquels règne une violence brute; seul, le capitaine de gendarmerie essaye de faire en sorte que force reste à la loi dans ce village aux allures de Far-West avec un maire, qui, tel un shériff, fait la loi au bout de son canon. J'ai, par moments, pensé à "Né d'aucune femme" de Franck Bouysse pour l'aspect cruauté et noirceur "rurales".
Seuls la Dame blanche et Césaire mettent une touche d'humanité dans cette histoire même si eux aussi plongent dans une violence extrême lorsqu'ils sont menacés.
Aucun temps mort, rythme haletant, une tactique littéraire redoutable pour créer l'emprise sur le/la lecteur/trice : donner une élément incomplet et n'apporter les informations complémentaires que quelques pages plus loin alors qu'on est passé à autre chose. Cependant, le domestique-esclave, vendu à une paysanne qui le traite littéralement comme un chien, ce qui se passe dans le manoir que je ne divulgâcherai pas, manquent un peu de vraisemblance mais je n'ai pas boudé mon plaisir et me suis laissé entraîner sans résistance dans ce sombre roman.
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