La revue de presse livres vous dit tout ce qu’il faut savoir — et emporter — avant l’été !
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En février, Rahmatou Sangotte a accepté d'être notre lectrice du mois, à vous de la découvrir...
Avec l'impossible retour Amélie nous embarque avec elle et son amie pour un voyage au japon.
Elle sera notre guide et nous conteras son voyage.
Elle va faire découvrir a son amie photographe les villes de Tokyo et Kyoto et se remémoras de nombreux souvenirs.On a l'impression de suivre deux adolescentes parfois tellement les situations sont cocasses...
Et parfois je trouve "la copine" un peu dure avec Amélie, mais c'est toujours avec un grand plaisir que je découvre ses écrits mème si ces dernières années j'ai comme l'impression que les thèmes se répètent et que le nombre de pages se réduits malgré le cout du livre en lui mème...
Un roman nostalgique, des situations amusantes et un plaisir toujours présent pour ce 33e roman si je ne me trompe...
C’est la toute première fois que je lis cette auteure, j’avais beaucoup d’appréhension, je pensais que cette auteure n’était pas dans ma zone de confort ! Quelle fausse idée je me suis faite, je viens de finir l’Impossible retour et ma première réaction est : « elle est géniale » ! Comme quoi parfois il faut essayer avant de se faire de fausses idées.
Je l’avais aperçue au Livre sur la Place en 2019 et l’avais trouvée d’un abord sympathique puisqu’alors que je n’étais pas dans la file des gens qui attendaient une dédicace ; quand elle a levé les yeux, nos regards se sont croisés, elle m’a souri !
Bon je reviens au livre, un très beau voyage à Kyoto et Tokyo, j’ai noté tous les temples, rues et monuments pour aller consulter les photos. Mais en attendant ce roman est aussi un documentaire.
La quatrième de couverture est une pensée donc elle en dit peu sur le contenu du livre.
Si j’ai apprécié le voyage, j’ai aussi essayé d’étudier les comportements des deux amies.
Son amie Pep, photographe, qui a gagné un voyage pour deux au Japon a décidé de demander à Amélie de l’accompagner, sachant que cette dernière parle la langue couramment et connaît le pays pour y avoir vécu, à mon sens, elle est asthmatique, allergique aux acariens, mais aussi un peu hypochondriaque car elle se sent mal dans un hôtel aux apparences propres et ne ressent aucun malaise dans une boîte à la propreté douteuse !
Pour ce qui concerne Amélie, d’emblée elle est sympathique, on ressent son émotion à travers son récit, c’est une personne sédentaire, elle appréhende de quitter son lieu de vie, elle dit au revoir à son lit et à ses meubles, mais pire encore, elle a peur du retour d’où « l’impossible retour ». Ce mal être s’explique par les déménagements multiples qu’elle a subits jusqu’à l’âge de dix-sept ans (ses parents étaient diplomates).
En bref, son écriture m’a séduite. Ce court roman autobiographique a été une révélation et je me promets de lire la totalité de son œuvre (j’ai pris beaucoup de retard).
Bonjour Amélie, je me réveille un peu tard mais je vais me rattraper.
J'avais lu son précédent roman « Psychopompe « que j'avais vraiment, vraiment détesté. Comme beaucoup de monde, début septembre , nous attendons son denier livre. Une énième autobiographie, le retour dans ce pays qu »elle aime tant le Japon Elle arrive à nous faire voyager dans ces contrés lointaines La plume de l’auteure reste toujours aussi fluide, tout en finesse entraînant une lecture agréable Mais la stop pour pour moi,j'ai décidé d passer à travers ses prochains, livres Il n' y a plus de créativité, une impression de déjà lu à chaque fois. Je pense qu'elle devrait se concentrer un peu plus, pour nous sortir une pépite, loin de son vécu. Attention aucune polémique, cela reste mon ressenti
Dans la salle d’embarquement d’un aéroport, Jérôme Angust poireaute impatiemment en attendant son vol, retardé de plusieurs heures. Sa contrariété augmente encore lorsqu’il est abordé par un inconnu, qui se présente sous le nom de Textor Texel.
Jérôme se voit contraint de subir la conversation de celui-ci, ou plutôt son quasi-monologue logorrhéique et totalement importun, qui achève de l’exaspérer. Qui l’achèvera tout court, d’ailleurs.
Dans ce roman en huis clos, Amélie Nothomb démontre à nouveau sa maîtrise de l’art du dialogue et de celui d’affubler ses personnages de noms et/ou prénoms excentriques. Et comme souvent, rien de ce qu’elle écrit n’est gratuit ni ne se limite à un exercice de style, mais provoque au contraire la réflexion, en l’occurrence sur les thèmes de la culpabilité, de l’amour perverti et de la part de noirceur plus ou moins avouable en chacun de nous.
Un texte piquant, d’une grande justesse rythmique et qui distille ce qu’il faut de malaise et de cruauté pour le rendre diaboliquement efficace.
#LisezVousLeBelge
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