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«Jean Bedel est l'homme qui, en septembre-octobre 1953, a ranimé les interrogations sur les circonstances de la mort d'Emile Zola, asphyxié à son domicile dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902. Près de cinquante ans plus tard, il reprend son enquête et aboutit à des conclusions plus catégoriques que dans son premier reportage : Zola a été assassiné.
Ses articles de 1953 étaient un vrai scoop, mais à deux degrés d'anonymat : un homme dont il ne donnait pas le nom lui faisait part de la confession, reçue vingt-cinq ans plus tôt, d'un ancien couvreur, dont l'identité restait également cachée, et qui avouait avoir délibérément bouché la cheminée du 21 bis, rue de Bruxelles avant le retour des Zola. Il donne aujourd'hui les deux noms : celui de son informateur, Pierre Hacquin, et celui de l'auteur présumé du geste meurtrier, Henri Buronfosse.
L'hypothèse d'un crime, ou au moins d'une malveillance qui a mal tourné, s'en trouve singulièrement renforcée.» Henri Mitterand
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