80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
À l'âge classique, l'oeuvre d'art est pensée en termes d'imitation de la nature. Plus l'oeuvre est vraisemblable, plus l'imitation est considérée comme réussie.
Le présent livre veut désarticuler l'assimilation traditionnelle entre vraisemblance et illusion, en montrant qu'au XVIIIe siècle imitation parfaite et illusion parfaite ne sont pas équivalentes. L'oeuvre vraisemblable vise moins à procurer une illusion totale de vérité, qu'à être un moyen de mise en valeur de l'artificialité de l'art. De cette façon, le XVIIIe siècle forme le fondement de l'esthétique moderne où l'oeuvre ne cherche plus à dissimuler ses contours mais à en faire sa condition d'existence.
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