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Voyages en afghanistan,le beloutchistan et le turkestan, 2 vol 464 pages avec une carte depliante

Couverture du livre « Voyages en afghanistan,le beloutchistan et le turkestan, 2 vol 464 pages avec une carte depliante » de Jean-Paul Ferrier aux éditions Monfort Gerard
Résumé:

Jean-Paul Ferrier fut le premier Français à voyager en Afghanistan ; après lui, aucun autre, pendant pratiquement un demi-siècle, ne va plus y pénétrer.
Qui était Jean-Paul Ferrier, un aventurier, un mercenaire, un agent secret ou un explorateur de haut vol ? Nul ne le sait exactement. Officier... Voir plus

Jean-Paul Ferrier fut le premier Français à voyager en Afghanistan ; après lui, aucun autre, pendant pratiquement un demi-siècle, ne va plus y pénétrer.
Qui était Jean-Paul Ferrier, un aventurier, un mercenaire, un agent secret ou un explorateur de haut vol ? Nul ne le sait exactement. Officier au 1er régiment des chasseurs d'Afrique, il accepte de partir pour Téhéran comme instructeur en 1839 et atteint le grade élevé d'adjudant général. En 1845, il décide de se mettre au service du maharadjah du Pendjab qui veut échapper à l'occupation anglaise. Mais comment parvenir au Pendjab sans traverser les territoires anglais ? La seule voie possible passe par l'Afghanistan, mais les autorités tentent de le faire renoncer à son projet après la découverte de l'assassinat de trois explorateurs.
Déguisé en Arabe, il brave tous les interdits et part pour Hérat ; arrêté comme espion, il est emprisonné ; libéré, il emprunte la route de Kaboul, mais des guerres tribales l'obligent à s'engager dans les hautes montagnes. Ayant échoué par la route du nord, il repart vers Kandahar, à travers des déserts torrides et des contrées ravagées par des guerres continuelles ; il découvre que les Anglais occupent Kandahar depuis 1841, et que la route du Pendjab est complètement verrouillée.
Il doit renoncer à son projet et retourne à Téhéran où il rédige le récit de ses aventures, qui sera publié en anglais d'abord en 1856, puis en français quatre ans plus tard. Ce récit hallucinant, est confirmé par les Anglais, malgré leur désaccord sur le caractère des Afghans qu'ils trouvent honnêtes et loyaux, alors que Jean-Paul Ferrier, lui s'il reconnaît que l'on peut trouver le sens de l'honneur chez les nobles, ne voit dans le peuple que des hommes particulièrement farouches.

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