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Un Bleu Klein parisien.
Et puis un jaune américain à la Newman.
Une touche de vert à la Chagall vu depuis une fenêtre sur l'île de Bréhat.
C'est étrange de retrouver naturellement ces couleurs tout au long d'une vie.
Puis d'une autre...
Le temps passe, les siècles laissent leurs témoignages et les hommes voyagent. Pour des femmes et des idées, pour l'art et la beauté.
Pour Claudia et Maria-Maddalena, la rencontre qui bouleversera leurs vies se fera aussi autour de l'art.
Claudia est conservatrice et restauratrice d'art au musée des Offices. Elle travaille sur une toile du peintre anglais préraphaélite, Anthony Frederick Sandys.
Maria-Maddalena est une descendante de ce peintre.
Dans un camaïeu riche de sentiments, de petites touches de couleurs en aplats magistraux, les deux femmes nouent une amitié hors norme dans la belle Toscane de la Villa des Orangers.
De là, de verres de gin en éclats de rire, de larmes en souvenirs, elles voyageront pour des hommes, pour l'art et la beauté.
Maria-Maddalena, dans une phase dépressive inconsciente va puiser en Claudia son élan de vie et son aptitude au bonheur. Quant à Claudia, que dire de cette femme, sinon, qu'elle est elle-même une invitation au voyage ?
Ce livre parle d'art, d'art de vivre et de bien vivre. Il parle aussi d'amour, de tolérance et de fraternité.
C'est un livre hédoniste, un livre qui prend son temps, une sorte d'hymne à la vie...
À Florence, Claudia est conservatrice dans un musée.
Elle restaure une toile du peintre anglais préraphaélite Sandys : 《Marie-Madeleine》, confiée par la descendante dudit peintre, Maria-Maddalena.
Ces deux femmes vont alors nouer une amitié hors norme.
Une rencontre qui bouleversera leur vie.
De l'amour.
De l'amitié.
De la passion.
De la bienveillance.
Le titre et la première de couverture m'ont fait voyager d'emblée !
J'ai pensé au soleil, à l'odeur des orangers, à l'apaisement...
Au début, j'ai vraiment été très emballée.
J'ai adoré me promener dans les rues de Florence, découvrir ses monuments, me régaler avec les bons petits plats de Claudia, en apprendre davantage sur la peinture, sur les couleurs.
J'ai adoré pénétrer dans la Villa des Orangers, m'envoler pour Marrakech, errer dans ses souks et entendre l'appel à la prière.
J'ai retrouvé avec joie mes deux pays d'origine : le Maroc et l'Italie !
...
Mais malheureusement, j'ai fini par me lasser, m'ennuyer, et sauter des passages.
Pour tout vous dire, j'étais même heureuse d'apprendre que Maria-Maddalena tombe malade... Je me suis dit : 《Chouette, de l'action !》
Trop de longueurs, trop de descriptions, trop de répétitions, selon moi.
De plus, je n'ai pas du tout apprécié les phrases utilisées lorsque Hicham (un employé marocain) parlait :《J'ai pensé à quelque chose que je crois qu'il est bien》, 《Elle a vraiment pas de la chance》, 《C'est une bon personne.》
Je sais pertinemment que l'auteure n'avait aucune mauvaise intention, mais je trouve qu'il aurait été plus judicieux de simplement écrire que Hicham avait un fort accent, puis rédiger les dialogues en français correct.
Malgré tout, ce fut une bonne lecture dans l'ensemble !
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